Le député Les Républicains de l'Yonne et porte-parole des Républicains souhaite revenir à "une lecture rigoureuse de la loi de 1905".
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Mois: septembre 2016
Le sénateur de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a assuré de la sincérité du budget 2017, présenté mercredi par Michel Sapin, alors que le Haut conseil des finances publiques a douté du réalisme des objectifs fixés, notamment en termes de déficit public.
Le sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb, a défendu l'idée d'une candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle de 2017.
Alain Juppé sortirait vainqueur de la primaire à droite selon un dernier sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux devancerait Nicolas Sarkozy au premier comme au second tour, mais l'ancien président reste largement majoritaire parmi les sympathisants Les Républicains.
Après les mauvais chiffres du chômage pour le mois d'août, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, préfère parler de "phase de stabilisation" et en déduit qu'il faut "renforcer l'effort".
Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a dénoncé la "politique de dilution de la jungle de Calais" et critiqué le déplacement du chef de l'Etat dans le Nord, ce lundi, qu'il considère n'être qu'une simple opération de communication.
Le députée européenne et maire du 7e arrondissement de Paris a défendu l'idée qu'une "nation se construit sur un récit national" et a fustigé les critiques d'Alain Juppé sur "la nullité du débat" autour des ancêtres gaulois lancé par Nicolas Sarkozy.
Le président du Sénat et sénateur des Yvelines, Gérard Larcher a appelé à "s'occuper des migrants avec humanité et objectivité". Ce qui passe, selon lui, par le démantèlement de la jungle de Calais et la renégociations des accords du Touquet avec la Grande-Bretagne.
L'enveloppe dévolue aux contrats unique d'insertion est à la baisse. Conséquence, leur nombre diminue considérablement au 2e semestre 2016. Certains centre Pôle Emploi ne les proposent même plus.
Candidate à la primaire à droite, Nathalie Kosciusko-Morizet a jugé le statut du fonctionnaire inadapté à beaucoup de fonctions, notamment s'agissant de "l'emploi à vie".
Le secrétaire général du Parti communiste et sénateur de Paris, Pierre Laurent, a appelé à "une candidature de rassemblement de la gauche", pour éviter que l'Assemblée nationale ne "ressemble au conseil régional de PACA, où la gauche a disparu".
Le député Les Républicains des Hauts-de-Seine, Thierry Solère, a critiqué la situation dans les prisons, où "il y a des portables partout" et regretté que le Gouvernement attende la fin du quinquennat pour s'attaquer au problème de la surpopulation carcérale.
Le secrétaire d'Etat chargé de la réforme territoriale et de la simplification, Jean-Vincent Placé, a reconnu un bilan mitigé de la gauche au pouvoir depuis 2012. Et fustigé les déclarations de Nicolas Sarkozy sur le réchauffement climatique.
Benoît Hamon, député PS des Yvelines et candidat à la primaire socialiste a pointé les lacunes de François Hollande à rassembler à la gauche et dénoncé l'agressivité de Manuel Valls. Pour lui, "on ne peut pas tout le temps être dans le déni en disant que c'est de la faute des autres".
Le député Les Républicains de Charente-Maritime, Dominique Bussereau, a répété sa préférence pour Alain Juppé en vue des primaires à droite et a tiré la sonnette d'alarme quant au manque de moyens des départements pour verser le RSA.
Alain Juppé est toujours en tête du tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de septembre 2016, devant François Bayrou et Jean-Pierre Raffarin. Si Emmanuel Macron bénéficie d'une popularité plus forte que François Hollande ou Nicolas Sarkozy, il serait battu en cas de duel avec le maire de Bordeaux.
Le député de l'Oise et secrétaire général des Républicains Eric Woerth a défendu la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires à droite, tout en attaquant François Hollande, qu'il juge "inaudible".
Le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement a lancé un appel à Emmanuel Macron pour qu'il soutienne une éventuelle candidature de François Hollande lors de la présidentielle de 2017.
La gauche absente du second tour, quelles que soient les hypothèses. C'est le résultat du sondage Ifop-Fiducial pour Lyon Capitale et Sud Radio. François Hollande, au premier tour, serait au coude à coude avec Jean-Luc Mélenchon. Emmanuel Macron ne ferait guère mieux.
Si Geoffroy Didier n'a pas obtenu les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire des Républicains, il assure avoir "conquis [sa] liberté". Et regrette que ce soit "plus dur de se présenter à la primaire qu'à la présidentielle".
Le député PS de Seine-et-Marne Eduardo Rihan-Cypel regrette une "hystérisation pas normale" contre la personne du président de la République et appelle François Hollande à se battre.
Jean-Christophe Lagarde, président de l'UDI, a reconnu "des points de cohérence" avec Emmanuel Macron, "mais aussi des divergences".
L'été n'a pas apaisé la défiance envers le couple exécutif. François Hollande reste stable, avec 18 % d'opinions positives, tandis que Manuel Valls gagne 2 points, à 29 %, mais reste très proche de son plus bas niveau de confiance.
Le maire de Bordeaux remporterait la primaire de la droite d'après un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match, avec 54 % des suffrages au second tour. Mais son avance sur Nicolas Sarkozy s'est grandement réduite pendant l'été.
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, député-maire de Yerres dans l'Essonne et candidat à l'élection présidentielle, a estimé qu'il n'y a "pas une démocratie au monde où un candidat, ancien président de la République, qui a triché avec ses comptes de campagne, oserait se représenter et même où la société tolèrerait qu'il se représente".
Le député de l'Yonne et porte-parole des Républicains, Guillaume Larrivé, a défendu la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires, prônant des mesures fortes et assurant que "la droite doit être de droite".
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