Le député européen et candidat à la primaire EELV ne veut pas que la France "devienne un Far-West comme les Etats-Unis".
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Mois: octobre 2016
Le député de l'Eure et candidat à la primaire de la droite a reconnu que le scrutin qui aura lieu le 20 novembre s'apparente, pour le moment, à un référendum pour ou contre l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il souhaite éviter "un vote par défaut", pour ne pas recréer "la même déception qu'avec François Hollande".
Le sénateur PS de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a rappelé que la courbe du chômage "était la condition" d'une candidature de François Hollande pour un nouveau mandat. Et pour lui, avec les bons chiffres publiés mardi, "l'inversion est là".
Le président de la République, s'il brigue un nouveau mandat, serait éliminé au premier tour dans tous les cas de figure. Et même s'il affrontait Marine Le Pen au second tour, François Hollande serait battu par la candidate frontiste.
La maire adjointe de Bordeaux, Virginie Calmels, a relativisé le lien qui unit Alain Juppé et François Bayrou, qu'elle juge "monté médiatiquement", affirmant que ce dernier n'est "qu'un soutien" du maire de Bordeaux.
Michèle Rivasi, députée européenne et candidate à la primaire EELV pour la présidentielle, s'est dit pour le démantèlement de la jungle de Calais, qui a débuté ce lundi, mais reproche la méthode du Gouvernement qui a été d'imposer plutôt que de discuter avec les maires prêts à accueillir des migrants.
Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris et candidate à la primaire du Parti socialiste, imagine mal François Hollande capable de se présenter pour briguer un nouveau mandat présidentiel.
Le président de la fondation pour l'islam de France a dit "comprendre les policiers" qui manifestent contre les agressions dont ils sont victimes, mais "soutient le ministre de l'Intérieur".
La dernière vague du baromètre de la primaire de la droite Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match montre que l'écart se creuse fortement entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. L'ancien président serait même battu de 22 points au 2e tour.
À l'origine d'un début de polémique, la petite phrase de Nicolas Sarkozy sur "nos ancêtres, les Gaulois" ne bénéficie que d'un crédit limité, tant parmi la population française que les sympathisants Les Républicains.
La musique selon laquelle "c'était mieux avant" a corps dans la population française. Ils sont 69 % à penser que leurs parents vivaient mieux qu'eux au même âge.
La députée européenne Nadine Morano a estimé qu'Alain Juppé "incarne la continuité de François Hollande", laissant entrevoir sa préférence pour Nicolas Sarkozy ou François Fillon qui ont "su incarner l'autorité de l'Etat".
Une longue enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match laisse apparaître une société fracturée, dans laquelle l'Islam est les immigrés ont du mal à trouver leur place. Pertes de repères, manque de confiance en l'avenir, inégalités sociales, autant de marqueurs qui influent sur la vision qu'ont les Français de la société dans laquelle ils vivent et qu'ils jugent sévèrement.
L'économiste et écrivain Jacques Attali a regretté que les primaires qui s'annoncent, tant à droite qu'à gauche, soient simplement des "primaires de candidats" et que les programmes, les projets et les visions à long terme pour le pays n'aient pas plus d'importance.
Le vice-président du Front national Florian Philippot a dénoncé la visite à Florange de François Hollande et l'absence de "stratégie industrielle" à la tête de l'Etat.
Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes a fustigé le ralliement de l'UDI derrière Alain Juppé, faisant valoir que "certains ont des convictions comme boussole, d'autres ont l'air du temps".
Le sénateur-maire Front national de Fréjus, David Rachline, a tenu à rappeler la ratification, par Nicolas Sarkozy, du traité de Lisbonne, après le non au référendum de 2005, en référence à la promesse de l'ancien président de la République d'organiser deux référendums s'il est élu.
Le maire de Bordeaux l'emporterait avec 56 % des voix en cas de duel avec Nicolas Sarkozy, parmi les sympathisants Les Républicains. Un chiffre qui monte même à 72 % parmi l'ensemble de la population française, d'après le dernier tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match.
Le vice-président de l'UDI Louis Giscard d'Estaing a jugé "irréalisable" la promesse de Nicolas Sarkozy d'organiser deux référendums s'il est élu et a soutenu Alain Juppé, "homme d'expérience et de dialogue" en vue de la primaire de la droite.
Pour lutter contre le terrorisme, le député de la Haute-Marne et président du conseil national des Républicains a appelé à une "unité sans faille", jugeant qu'actuellement, "c'est l'urgence partout, mais il n'y a pas beaucoup d'Etat".
La sénatrice UDI de Paris, Chantal Jouanno, si elle reconnait des bienfaits au non-cumul des mandats, a tenu à alerter sur la question du statut de l'élu et l'avenir des politiques une fois leur carrière publique terminée.
La sénatrice UDI de Paris a rappelé qu’elle n’a pas pris position pour un candidat de la primaire de la droite et se tiendra à la prise de position du parti. Un parti qui, confie-t-elle, aura bien du mal à suivre Nicolas Sarkozy si celui-ci l’emporte.
François Kalfon, conseiller régional d'Ile-de-France et directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, critique "les primaires de la droite extrême" et juge que "Jean-Christophe Cambadélis se comporte en agent électoral de François Hollande".
Le ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales a laissé la porte ouverte à des négociations pour aider les départements, mais a regretté la position de certains présidents de conseils départementaux, qu'il considère plus "politicienne que politique".
Le chef de l'Etat gagne 3 points d'opinions favorables, à 21 %, dans le tableau de bord politique Ifop-Fiducial du mois de septembre pour Sud Radio et Paris Match. Il atteint son plus haut niveau depuis le mois de mars.
La secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Barbara Pompili, s'est montrée critique envers son ancien parti, EELV, qui "ne fera rien gagner à l'écologie politique, mais qui pourrait faire perdre la gauche". Elle préfère apporter son soutien à François de Rugy, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, pour que "l'écologie pèse par la suite".
Le sénateur Les Républicains de l'Yonne, Jean-Baptiste Lemoyne, a fait part de son soutien pour Alain Juppé en vue des primaires de la droite, jugeant que le maire de Bordeaux "a une capacité hors paire à réunir les différentes générations".
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