Jérôme Chartier, député du Val d'Oise et porte-parole de François Fillon pour la primaire de la droite, estime que l'ancien Premier ministre a proposé une issue au vote Sarkozy ou Juppé, qui étaient respectivement, selon lui, des votes "contre François Bayrou" ou "contre Nicolas Sarkozy".
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Année: 2016
Alors qu'Emmanuel Macron doit annoncer ce mercredi sa candidature à l'élection présidentielle, le sénateur-maire PS d'Alfortville, Luc Carvounas, estime que l'ancien ministre de l'Economie manque de fidélité alors qu'il est "un pur produit inventé par François Hollande".
Pour le secrétaire général des Républicains et député de l'Oise, Eric Woerth, la primaire de la droite et du centre, dont le premier tour a lieu dimanche, doit rassembler un maximum d'électeurs de droite et du centre-droit, mais aussi d'anciens électeurs de droite qui ont basculé vers l'extrême-droite. Selon lui, Nicolas Sarkozy est le candidat le plus à même de les séduire.
Le dernier sondage avant le premier tour de la primaire de la droite et du centre marque le recul d'Alain Juppé et confirme la remontée de François Fillon. Si Nicolas Sarkozy ne gagne pas de terrain, il entrevoit une possible première place dimanche soir, même s'il est encore largement devancé en cas de second tour avec Alain Juppé.
Le secrétaire d'Etat à l'enseignement supérieur, Thierry Mandon, a reconnu des erreurs dans le quinquennat de François Hollande, notamment la suppression des avantages pour les heures supplémentaires. Il espère que la primaire de la gauche sera l'occasion de faire un bilan.
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et candidat à la primaire de la gauche, souhaite rassembler autour de sa candidature et n'épargne pas Emmanuel Macron, qu'il qualifie de "stupide", ou François Hollande, qui "rendrait service à tout le monde" s'il ne briguait pas un deuxième mandat.
Le candidat à la primaire de la droite, Alain Juppé, souvent attaqué par Nicolas Sarkozy pour être soutenu par François Bayrou, assure qu'il n'a promis aucun poste au président du MoDem en échange de ce soutien. Et laisse entendre que ses rivaux à la primaire ont été plus généreux avec leurs proches.
Le vainqueur des élections présidentielles américaines a donné un discours dans lequel il s'est voulu rassembleur, après sa victoire face à Hillary Clinton.
L'ancien ministre de droite, Renaud Dutreil, soutient aujourd'hui Emmanuel Macron pour la prochaine présidentielle. Il souhaite que l'ancien ministre de l'Economie se présente et accède à l'Elysée, pour "moderniser le pays".
Pour l'ancien ministre Renaud Dutreil, Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, devra "négocier avec les républicains" s'il veut gouverner, ce qui sera "très difficile pour lui".
Le candidat républicain est assuré de l'emporter face à sa rivale démocrate, Hillary Clinton.
Le Train pour l'emploi et l'alternance parcourt la France pendant plus de deux semaines pour mettre en relation recruteurs et demandeurs d'emploi. Sud Radio était présent lundi, pour le grand départ, gare du Nord.
Le président du MoDem perd 6 points dans le tableau de bord des personnalités politique Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de novembre, suite aux attaques de Nicolas Sarkozy sur son soutien passé à François Hollande. Alain Juppé est toujours en tête, devant François Fillon et Jean-Pierre Raffarin.
L'ancien président de la République et candidat à la primaire de la droite a jugé majeur le débat autour de l'implication de François Bayrou dans la primaire et de son soutien à Alain Juppé. Pour Nicolas Sarkozy, le président du MoDem "n'a fait que se présenter contre les candidats de la droite et du centre".
La vice-présidente du MoDem, Marielle de Sarnez, est revenue sur les attaques de Nicolas Sarkozy à l'encontre de François Bayrou. Pour elle, "autant de violence n'est pas à la hauteur du moment".
Le député LR des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a noté une "agressivité pas toujours légitime" des autres candidats à la primaire contre Nicolas Sarkozy lors du 2e débat télévisé.
Le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a défendu l'idée d'une candidature commune, à gauche, pour la prochaine présidentielle, tout en regrettant que les socialistes se soient "laissés enfermer" dans une primaire et que Jean-Luc Mélenchon veuille "continuer seul".
Le dernier tableau de bord Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match montre une chute de 5 points du président de la République, à 16 % d'opinions favorables. Dans le même temps, Manuel Valls progresse de 6 points, à 34 %.
À moins de trois semaines du premier tour de la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy rattrape quelques points sur Alain Juppé dans le dernier baromètre de la primaire Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux est toujours donné gagnant au premier comme au second tour, mais la lutte s'annonce serrée.
L'ancien Premier ministre et favori de la primaire a reçu le soutien de la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse. Le maire LR du Havre, Edouard Philippe, assure qu'Alain Juppé n'a pas promis de poste en échange de ce soutien.
Le député européen et candidat à la primaire EELV ne veut pas que la France "devienne un Far-West comme les Etats-Unis".
Le député de l'Eure et candidat à la primaire de la droite a reconnu que le scrutin qui aura lieu le 20 novembre s'apparente, pour le moment, à un référendum pour ou contre l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il souhaite éviter "un vote par défaut", pour ne pas recréer "la même déception qu'avec François Hollande".
Le sénateur PS de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a rappelé que la courbe du chômage "était la condition" d'une candidature de François Hollande pour un nouveau mandat. Et pour lui, avec les bons chiffres publiés mardi, "l'inversion est là".
Le président de la République, s'il brigue un nouveau mandat, serait éliminé au premier tour dans tous les cas de figure. Et même s'il affrontait Marine Le Pen au second tour, François Hollande serait battu par la candidate frontiste.
La maire adjointe de Bordeaux, Virginie Calmels, a relativisé le lien qui unit Alain Juppé et François Bayrou, qu'elle juge "monté médiatiquement", affirmant que ce dernier n'est "qu'un soutien" du maire de Bordeaux.
Michèle Rivasi, députée européenne et candidate à la primaire EELV pour la présidentielle, s'est dit pour le démantèlement de la jungle de Calais, qui a débuté ce lundi, mais reproche la méthode du Gouvernement qui a été d'imposer plutôt que de discuter avec les maires prêts à accueillir des migrants.
Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris et candidate à la primaire du Parti socialiste, imagine mal François Hollande capable de se présenter pour briguer un nouveau mandat présidentiel.
Le président de la fondation pour l'islam de France a dit "comprendre les policiers" qui manifestent contre les agressions dont ils sont victimes, mais "soutient le ministre de l'Intérieur".
La dernière vague du baromètre de la primaire de la droite Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match montre que l'écart se creuse fortement entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. L'ancien président serait même battu de 22 points au 2e tour.
À l'origine d'un début de polémique, la petite phrase de Nicolas Sarkozy sur "nos ancêtres, les Gaulois" ne bénéficie que d'un crédit limité, tant parmi la population française que les sympathisants Les Républicains.
La musique selon laquelle "c'était mieux avant" a corps dans la population française. Ils sont 69 % à penser que leurs parents vivaient mieux qu'eux au même âge.
La députée européenne Nadine Morano a estimé qu'Alain Juppé "incarne la continuité de François Hollande", laissant entrevoir sa préférence pour Nicolas Sarkozy ou François Fillon qui ont "su incarner l'autorité de l'Etat".
Une longue enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match laisse apparaître une société fracturée, dans laquelle l'Islam est les immigrés ont du mal à trouver leur place. Pertes de repères, manque de confiance en l'avenir, inégalités sociales, autant de marqueurs qui influent sur la vision qu'ont les Français de la société dans laquelle ils vivent et qu'ils jugent sévèrement.
L'économiste et écrivain Jacques Attali a regretté que les primaires qui s'annoncent, tant à droite qu'à gauche, soient simplement des "primaires de candidats" et que les programmes, les projets et les visions à long terme pour le pays n'aient pas plus d'importance.
Le vice-président du Front national Florian Philippot a dénoncé la visite à Florange de François Hollande et l'absence de "stratégie industrielle" à la tête de l'Etat.
Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes a fustigé le ralliement de l'UDI derrière Alain Juppé, faisant valoir que "certains ont des convictions comme boussole, d'autres ont l'air du temps".
Le sénateur-maire Front national de Fréjus, David Rachline, a tenu à rappeler la ratification, par Nicolas Sarkozy, du traité de Lisbonne, après le non au référendum de 2005, en référence à la promesse de l'ancien président de la République d'organiser deux référendums s'il est élu.
Le maire de Bordeaux l'emporterait avec 56 % des voix en cas de duel avec Nicolas Sarkozy, parmi les sympathisants Les Républicains. Un chiffre qui monte même à 72 % parmi l'ensemble de la population française, d'après le dernier tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match.
Le vice-président de l'UDI Louis Giscard d'Estaing a jugé "irréalisable" la promesse de Nicolas Sarkozy d'organiser deux référendums s'il est élu et a soutenu Alain Juppé, "homme d'expérience et de dialogue" en vue de la primaire de la droite.
Pour lutter contre le terrorisme, le député de la Haute-Marne et président du conseil national des Républicains a appelé à une "unité sans faille", jugeant qu'actuellement, "c'est l'urgence partout, mais il n'y a pas beaucoup d'Etat".
La sénatrice UDI de Paris, Chantal Jouanno, si elle reconnait des bienfaits au non-cumul des mandats, a tenu à alerter sur la question du statut de l'élu et l'avenir des politiques une fois leur carrière publique terminée.
La sénatrice UDI de Paris a rappelé qu’elle n’a pas pris position pour un candidat de la primaire de la droite et se tiendra à la prise de position du parti. Un parti qui, confie-t-elle, aura bien du mal à suivre Nicolas Sarkozy si celui-ci l’emporte.
François Kalfon, conseiller régional d'Ile-de-France et directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, critique "les primaires de la droite extrême" et juge que "Jean-Christophe Cambadélis se comporte en agent électoral de François Hollande".
Le ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales a laissé la porte ouverte à des négociations pour aider les départements, mais a regretté la position de certains présidents de conseils départementaux, qu'il considère plus "politicienne que politique".
Le chef de l'Etat gagne 3 points d'opinions favorables, à 21 %, dans le tableau de bord politique Ifop-Fiducial du mois de septembre pour Sud Radio et Paris Match. Il atteint son plus haut niveau depuis le mois de mars.
La secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Barbara Pompili, s'est montrée critique envers son ancien parti, EELV, qui "ne fera rien gagner à l'écologie politique, mais qui pourrait faire perdre la gauche". Elle préfère apporter son soutien à François de Rugy, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, pour que "l'écologie pèse par la suite".
Le sénateur Les Républicains de l'Yonne, Jean-Baptiste Lemoyne, a fait part de son soutien pour Alain Juppé en vue des primaires de la droite, jugeant que le maire de Bordeaux "a une capacité hors paire à réunir les différentes générations".
Le député Les Républicains de l'Yonne et porte-parole des Républicains souhaite revenir à "une lecture rigoureuse de la loi de 1905".
Le sénateur de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a assuré de la sincérité du budget 2017, présenté mercredi par Michel Sapin, alors que le Haut conseil des finances publiques a douté du réalisme des objectifs fixés, notamment en termes de déficit public.
Le sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb, a défendu l'idée d'une candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle de 2017.
Alain Juppé sortirait vainqueur de la primaire à droite selon un dernier sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux devancerait Nicolas Sarkozy au premier comme au second tour, mais l'ancien président reste largement majoritaire parmi les sympathisants Les Républicains.
Après les mauvais chiffres du chômage pour le mois d'août, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, préfère parler de "phase de stabilisation" et en déduit qu'il faut "renforcer l'effort".
Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a dénoncé la "politique de dilution de la jungle de Calais" et critiqué le déplacement du chef de l'Etat dans le Nord, ce lundi, qu'il considère n'être qu'une simple opération de communication.
Le députée européenne et maire du 7e arrondissement de Paris a défendu l'idée qu'une "nation se construit sur un récit national" et a fustigé les critiques d'Alain Juppé sur "la nullité du débat" autour des ancêtres gaulois lancé par Nicolas Sarkozy.
Le président du Sénat et sénateur des Yvelines, Gérard Larcher a appelé à "s'occuper des migrants avec humanité et objectivité". Ce qui passe, selon lui, par le démantèlement de la jungle de Calais et la renégociations des accords du Touquet avec la Grande-Bretagne.
L'enveloppe dévolue aux contrats unique d'insertion est à la baisse. Conséquence, leur nombre diminue considérablement au 2e semestre 2016. Certains centre Pôle Emploi ne les proposent même plus.
Candidate à la primaire à droite, Nathalie Kosciusko-Morizet a jugé le statut du fonctionnaire inadapté à beaucoup de fonctions, notamment s'agissant de "l'emploi à vie".
Le secrétaire général du Parti communiste et sénateur de Paris, Pierre Laurent, a appelé à "une candidature de rassemblement de la gauche", pour éviter que l'Assemblée nationale ne "ressemble au conseil régional de PACA, où la gauche a disparu".
Le député Les Républicains des Hauts-de-Seine, Thierry Solère, a critiqué la situation dans les prisons, où "il y a des portables partout" et regretté que le Gouvernement attende la fin du quinquennat pour s'attaquer au problème de la surpopulation carcérale.
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