Retranscription des premières minutes :
- Nous sommes en guerre.
- Qui va essayer d'expliquer, est-ce qu'on doit avoir une France qui produit ? Ou on doit avoir une France uniquement dans le tertiaire, qui reçoit les touristes ? Vrai, vrai, vrai problème.
- To be or not to be industrialized, that is the question.
- Et puis, nous avons parlé, nous allons recevoir Sébastien Béraud, qu'on avait reçu trop brièvement, agriculteur en Haute-Loire.
- Pourquoi lui ? Il trouve que les mesures prises par Trump sur les tarifs et le tsunami tarifaire, eh bien, ça lui va très bien.
- Comment ? Comment ça lui va très bien ? Tout le monde dit, mais c'est pas possible, ce fou.
- Eh bien, lui, ça lui va très bien.
- Et après, les Perles, les Huées et les Bravos, eh bien, vous allez voir qu'ils ne seront pas piqués les hannetons.
- Ce sera la culture dans tous ses états.
- Et avec Céline Alonso, nous recevons qui ? Jacques Vassal.
- Et pour parler de qui ? Pour parler d'un des plus grands, l'un des plus grands, des immortels de la chanson française, Georges Brassens, le pornographe.
- Du phonographe, l'un des plus grands poètes du XXe siècle, Brassens.
- Eh bien, on va prendre une heure pour en parler et surtout pour le chanter.
- A tout de suite.
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Eh bien, eh bien, que se passe-t-il ? Que s'est-il passé à Rennes pour que le PDG de Safran ne veuille plus venir à Rennes ? Alors qu'on est en pleine et que le gouvernement, avec légitimité, tout le monde, et pour la réindustrialisation de la France, il faut arrêter cette espèce de mamise totale du tertiaire et essayer de reprendre avec la dette qu'on a, avec les milliers à rechercher, désespérés, et bien, il est temps de reproduire, de reproduire, de rapatrier, etc., etc.
- Eh bien, il y a des choses qui ne vont pas.
- Quoi ? On en parle tout de suite.
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- How dare you ? How dare you ? Vous vous rappelez ce cri de Greta Thunberg ? C'était le grand moment de l'écologie.
- Ça y est, vous les adultes, vous avez pollué la planète, vous les avez mis, dans tous nos états, mais dans quels états de saleté, de pollution, de gabegie, nous sommes futus, la planète est finie, etc., etc.
- Et puis, il y a eu tout le monde écologiste, et puis, voilà, hier, à l'Assemblée Nationale, il y avait Olivier Andriès.
- Olivier Andriès est le PDG de Safran.
- Je rappelle que Safran est un grand groupe industriel et technologique français, présent au niveau international.
- Il emploie, Safran, 100 000 collaborateurs pour des chiffres d'affaires de 27,5% et 3 milliards d'euros en 2024.
- Donc, il est un peu dans le monde entier.
- Et Safran se classe en 2023 au 28e rang mondial pour la production d'armement dans les domaines de l'aéronautique, de l'espace et de la défense.
- Eh bien, voici ce que disait Olivier Andriès, hier, devant une commission de l'Assemblée Nationale.
- Écoutez.
- Les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème « c'est scandaleux, un groupe vient s'installer, créer de l'emploi, on va faire des choses, on va faire des choses, on va faire des choses, on va faire des choses, on va faire des choses, c'est l'aéronautique, c'est l'avion, ils vont polluer et puis c'est le militaire, c'est pas bien. » Alors, je vais être très très clair avec vous.
- Pour moi, il n'est plus question aujourd'hui d'investir en France dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste.
- C'est plus possible.
- Je ne le ferai pas.
- C'est pas politique, mais je veux dire, à partir du moment où on oublie l'intérêt national, à partir du moment où on ne comprend pas, on a une attitude d'égoïsme, d'égoïste, et on ne comprend pas que créer 500 emplois dans un endroit, c'est quand même très important pour le territoire, c'est très important pour la vie des personnes qui sont là, moi, je trouve que à un moment donné, très bien.
- Très bien.
- Il faut...
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