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Jean-Frédéric Poisson, président du parti chrétien-démocrate et candidat à la primaire de la droite, a rappelé son opposition à la loi Taubira qui, selon lui, mène "tout droit vers la reconnaissance de la gestation pour autrui", indiquant qu'il était le seul, parmi les prétendants à l'investiture LR, à prôner l'abrogation pure et simple du texte.

Deux jours après la candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle, un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Lyon Capitale placerait l'ancien ministre de l'Economie en 3e position, quels que soient ses adversaires. Devant François Hollande, mais pas suffisant pour accéder au 2nd tour.

Jérôme Chartier, député du Val d'Oise et porte-parole de François Fillon pour la primaire de la droite, estime que l'ancien Premier ministre a proposé une issue au vote Sarkozy ou Juppé, qui étaient respectivement, selon lui, des votes "contre François Bayrou" ou "contre Nicolas Sarkozy".

Alors qu'Emmanuel Macron doit annoncer ce mercredi sa candidature à l'élection présidentielle, le sénateur-maire PS d'Alfortville, Luc Carvounas, estime que l'ancien ministre de l'Economie manque de fidélité alors qu'il est "un pur produit inventé par François Hollande".

Pour le secrétaire général des Républicains et député de l'Oise, Eric Woerth, la primaire de la droite et du centre, dont le premier tour a lieu dimanche, doit rassembler un maximum d'électeurs de droite et du centre-droit, mais aussi d'anciens électeurs de droite qui ont basculé vers l'extrême-droite. Selon lui, Nicolas Sarkozy est le candidat le plus à même de les séduire.

Le dernier sondage avant le premier tour de la primaire de la droite et du centre marque le recul d'Alain Juppé et confirme la remontée de François Fillon. Si Nicolas Sarkozy ne gagne pas de terrain, il entrevoit une possible première place dimanche soir, même s'il est encore largement devancé en cas de second tour avec Alain Juppé.

Le secrétaire d'Etat à l'enseignement supérieur, Thierry Mandon, a reconnu des erreurs dans le quinquennat de François Hollande, notamment la suppression des avantages pour les heures supplémentaires. Il espère que la primaire de la gauche sera l'occasion de faire un bilan.

Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et candidat à la primaire de la gauche, souhaite rassembler autour de sa candidature et n'épargne pas Emmanuel Macron, qu'il qualifie de "stupide", ou François Hollande, qui "rendrait service à tout le monde" s'il ne briguait pas un deuxième mandat.

Le candidat à la primaire de la droite, Alain Juppé, souvent attaqué par Nicolas Sarkozy pour être soutenu par François Bayrou, assure qu'il n'a promis aucun poste au président du MoDem en échange de ce soutien. Et laisse entendre que ses rivaux à la primaire ont été plus généreux avec leurs proches.

Le Train pour l'emploi et l'alternance parcourt la France pendant plus de deux semaines pour mettre en relation recruteurs et demandeurs d'emploi. Sud Radio était présent lundi, pour le grand départ, gare du Nord.

Le président du MoDem perd 6 points dans le tableau de bord des personnalités politique Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de novembre, suite aux attaques de Nicolas Sarkozy sur son soutien passé à François Hollande. Alain Juppé est toujours en tête, devant François Fillon et Jean-Pierre Raffarin.

L'ancien président de la République et candidat à la primaire de la droite a jugé majeur le débat autour de l'implication de François Bayrou dans la primaire et de son soutien à Alain Juppé. Pour Nicolas Sarkozy, le président du MoDem "n'a fait que se présenter contre les candidats de la droite et du centre".

Le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a défendu l'idée d'une candidature commune, à gauche, pour la prochaine présidentielle, tout en regrettant que les socialistes se soient "laissés enfermer" dans une primaire et que Jean-Luc Mélenchon veuille "continuer seul".

Le dernier tableau de bord Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match montre une chute de 5 points du président de la République, à 16 % d'opinions favorables. Dans le même temps, Manuel Valls progresse de 6 points, à 34 %.

À moins de trois semaines du premier tour de la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy rattrape quelques points sur Alain Juppé dans le dernier baromètre de la primaire Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux est toujours donné gagnant au premier comme au second tour, mais la lutte s'annonce serrée.

Le député de l'Eure et candidat à la primaire de la droite a reconnu que le scrutin qui aura lieu le 20 novembre s'apparente, pour le moment, à un référendum pour ou contre l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il souhaite éviter "un vote par défaut", pour ne pas recréer "la même déception qu'avec François Hollande".

Le sénateur PS de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a rappelé que la courbe du chômage "était la condition" d'une candidature de François Hollande pour un nouveau mandat. Et pour lui, avec les bons chiffres publiés mardi, "l'inversion est là".

Le président de la République, s'il brigue un nouveau mandat, serait éliminé au premier tour dans tous les cas de figure. Et même s'il affrontait Marine Le Pen au second tour, François Hollande serait battu par la candidate frontiste.

Michèle Rivasi, députée européenne et candidate à la primaire EELV pour la présidentielle, s'est dit pour le démantèlement de la jungle de Calais, qui a débuté ce lundi, mais reproche la méthode du Gouvernement qui a été d'imposer plutôt que de discuter avec les maires prêts à accueillir des migrants.

La dernière vague du baromètre de la primaire de la droite Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match montre que l'écart se creuse fortement entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. L'ancien président serait même battu de 22 points au 2e tour.

À l'origine d'un début de polémique, la petite phrase de Nicolas Sarkozy sur "nos ancêtres, les Gaulois" ne bénéficie que d'un crédit limité, tant parmi la population française que les sympathisants Les Républicains.

Une longue enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match laisse apparaître une société fracturée, dans laquelle l'Islam est les immigrés ont du mal à trouver leur place. Pertes de repères, manque de confiance en l'avenir, inégalités sociales, autant de marqueurs qui influent sur la vision qu'ont les Français de la société dans laquelle ils vivent et qu'ils jugent sévèrement.

L'économiste et écrivain Jacques Attali a regretté que les primaires qui s'annoncent, tant à droite qu'à gauche, soient simplement des "primaires de candidats" et que les programmes, les projets et les visions à long terme pour le pays n'aient pas plus d'importance.

Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".

Le sénateur-maire Front national de Fréjus, David Rachline, a tenu à rappeler la ratification, par Nicolas Sarkozy, du traité de Lisbonne, après le non au référendum de 2005, en référence à la promesse de l'ancien président de la République d'organiser deux référendums s'il est élu.

Le maire de Bordeaux l'emporterait avec 56 % des voix en cas de duel avec Nicolas Sarkozy, parmi les sympathisants Les Républicains. Un chiffre qui monte même à 72 % parmi l'ensemble de la population française, d'après le dernier tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match.

Le vice-président de l'UDI Louis Giscard d'Estaing a jugé "irréalisable" la promesse de Nicolas Sarkozy d'organiser deux référendums s'il est élu et a soutenu Alain Juppé, "homme d'expérience et de dialogue" en vue de la primaire de la droite.

Pour lutter contre le terrorisme, le député de la Haute-Marne et président du conseil national des Républicains a appelé à une "unité sans faille", jugeant qu'actuellement, "c'est l'urgence partout, mais il n'y a pas beaucoup d'Etat".

La sénatrice UDI de Paris, Chantal Jouanno, si elle reconnait des bienfaits au non-cumul des mandats, a tenu à alerter sur la question du statut de l'élu et l'avenir des politiques une fois leur carrière publique terminée.

La sénatrice UDI de Paris a rappelé qu’elle n’a pas pris position pour un candidat de la primaire de la droite et se tiendra à la prise de position du parti. Un parti qui, confie-t-elle, aura bien du mal à suivre Nicolas Sarkozy si celui-ci l’emporte.

François Kalfon, conseiller régional d'Ile-de-France et directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, critique "les primaires de la droite extrême" et juge que "Jean-Christophe Cambadélis se comporte en agent électoral de François Hollande".

Le ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales a laissé la porte ouverte à des négociations pour aider les départements, mais a regretté la position de certains présidents de conseils départementaux, qu'il considère plus "politicienne que politique".

La secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Barbara Pompili, s'est montrée critique envers son ancien parti, EELV, qui "ne fera rien gagner à l'écologie politique, mais qui pourrait faire perdre la gauche". Elle préfère apporter son soutien à François de Rugy, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, pour que "l'écologie pèse par la suite".

Le sénateur de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a assuré de la sincérité du budget 2017, présenté mercredi par Michel Sapin, alors que le Haut conseil des finances publiques a douté du réalisme des objectifs fixés, notamment en termes de déficit public.

Alain Juppé sortirait vainqueur de la primaire à droite selon un dernier sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux devancerait Nicolas Sarkozy au premier comme au second tour, mais l'ancien président reste largement majoritaire parmi les sympathisants Les Républicains.

Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a dénoncé la "politique de dilution de la jungle de Calais" et critiqué le déplacement du chef de l'Etat dans le Nord, ce lundi, qu'il considère n'être qu'une simple opération de communication.

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