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David Bouillon : "Nous prenons en charge les victimes d’effets indésirables"

Le docteur David Bouillon, médecin généraliste, était l'invité de "Bercoff dans tous ses états" le 9 février 2023 sur Sud Radio.

David Bouillon
David Bouillon, invité d’André Bercoff dans "Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio.

Le 4 février 2022, le Conseil provincial de l'Ordre des médecins de Bruxelles et du Brabant wallon a organisé un mini-symposium sur le thème "Déontologie et vaccination obligatoire". Le docteur David Bouillon y a participé.

 

David Bouillon : "Quand on est en guerre contre quelque chose, on a besoin de tous les soldats"

"Ce symposium, j’ai l’impression que c’est un petit peu la bataille de Waterloo trois ans plus tard. Pendant trois ans, il y a eu des informations, une censure et des injustices. J’ai une pensée pour tous les soignants français qui sont suspendus depuis de nombreux mois parce qu’ils ont refusé cette injection expérimentale.

 


Au cours de ce symposium, j’ai pris la parole en tant que médecin généraliste. La médecine générale, depuis trois ans, elle est morte. Elle n’était pas entendue au sujet de cette vaccination. Alors que, quand on est en guerre contre quelque chose (et on nous a répété qu’on était en guerre contre le Covid), on a besoin de tous les soldats, les soldats de terrain que sont les médecins généralistes, les infirmiers et les ambulanciers", a déclaré David Bouillon.

"Chaque effet indésirable qui survient après cette vaccination doit être rapporté"

"Mon frère a fait un vaccin contre le Covid, et là ça a été la fatigue, une perte de concentration… Ce n’est pas une polémique, c’est la réalité. C’est des troubles qui surviennent après. Et c’est ça qui est important : chaque effet indésirable qui survient après cette vaccination doit être rapporté. Et là, l’Ordre des médecins et les professeurs reconnaissent que ça n’a pas été rapporté. Nous prenons en charge les victimes d’effets indésirables, et il n’y a que quelques pour cent des effets indésirables qui sont rapportés.

 


L’effet indésirable, la complication la plus importante après le Covid, c’est une infection bactérienne, la septicémie qui, si elle n’est pas soignée, peut conduire à la mort. Nous, avec notre véhicule qui est équipé de manière complète, on peut faire des prises de sang, on peut faire des infusions intraveineuses d’antibiotiques, on peut fournir de l’oxygène… On peut aussi faire tout ce qui est préventif, avec la vitamine D, avec le zinc. Le médecin généraliste, il a une panoplie importante de traitements, qui a été complètement méprisée, censurée. On ne soigne pas les personnes âgées parce qu’ainsi, on dit à nos enfants aujourd’hui : 'écoute, il faut quand même te faire vacciner parce qu’ainsi, tu ne vas pas contaminer tes grands-parents'. Or, on sait bien que cette phrase est criminelle. On a soigné des personnes âgées. Elles n’ont pas été à l’hôpital, elles n’ont pas appelé d’ambulance, on n’a pas saturé les hôpitaux, les soins intensifs parce qu’en médecine générale, depuis trente ans, nous avons une façon de travailler qui permet de soigner une grippe avec complications à domicile", a poursuivi David Bouillon.

 

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Cliquez ici pour écouter l’invité d'André Bercoff dans son intégralité en podcast.

Retrouvez “Le face à face” d’André Bercoff chaque jour à 12h30 dans "Bercoff dans tous ses états" Sud Radio.

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