Invité du Fait du jour dans Bercoff dans tous ses états jeudi 26 octobre, Maître Carlo Alberto Brusa est revenu sur la pandémie de Covid-19 qui a touché le monde ces dernières années. L'occasion, pour cet avocat, d'apporter des précisions juridiques sur la vente des vaccins par Pfizer, le détail des contrats signés, les enjeux des campagnes successives de vaccination et les révélations post-Covid.
Point de départ de la démonstration de Maître Brusa : le contrat signé entre Pfizer et l'Afrique du Sud. Selon lui, l'article 5.5 du contrat signé en mars 2021 stipule que "l'acheteur reconnaît que le vaccin et les matériaux liés aux vaccins, ainsi que leurs composants et matériaux constitutifs, sont en cours de développement et continueront d'être étudiés après la fourniture du vaccin à l'acheteur en vertu du présent accord".
L'avocat poursuit la lecture de la clause contractuelle qui stipule que "l'acheteur reconnaît que les effets à long terme et l'efficacité du vaccin ne sont pas connus à l'heure, et qu'il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l'heure actuelle".
Seulement, Maître Brusa rappelle qu'un jour après la signature de ce contrat, un article paraissait dans Le Monde et titrait : "Covid-19 : Pfizer-BioNTech affirment que leur vaccin est efficace à 100% chez les 12 à 15 ans".
Pour Maître Carlo Alberto Brusa, qui assure "ne pas être complotiste", le constat est clair : "nous sommes dans une tromperie !". Et d'affirmer que "Pfizer s'est battu pour que les contrats ne soient pas publiés parce qu'ils savaient que tout serait révélé !".