Mark Zuckerberg : un geek, peu intéressé par l’argent
Mark Zuckerberg est un personnage complexe, tiraillé entre son côté humain et son côté patron d’une énorme industrie de la technologie. Dès le début de son entreprise, il fait face au dilemme de la publicité. S’il refuse initialement de s'y soumettre, il doit progressivement y adapter son entreprise pour répondre à des exigences financières.
"C’est le milliardaire qui n’aime pas l’argent" aime à dire Daniel Ichbiah. A 22 ans, il s’est vu proposer un milliard de dollars pour racheter sa boîte, qu’il a décliné.
Futur président ?
Mark Zuckerberg est en marche pour la maison blanche. Dans les statuts de Facebook, une clause a été changée en 2016 qui signale que s’il prend une fonction gouvernementale, il restera patron de Facebook. Cette initiative a été interprétée comme un signe qu’il avait l’ambition de devenir président des Etats-Unis. "On a l’impression qu’il se veut un destin national" explique Daniel Ichbiah.
Les "fake news" n’ont pas été orchestrées par Mark Zuckerberg lui-même, pour pousser Trump en dehors du champ politique et lui laisser la voie libre. Cette théorie du complot est écartée pour Daniel Ichbiah qui assure qu’elles ont été pilotées par Saint-Pétersbourg. Les publicités étaient orientées pour faire tomber Hillary Clinton et non pour faire élire Donald Trump.
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