Bref, la boite dont on ne sait pas encore à qui elle appartient ou a appartenu, vient d'être déterrée dans les Pyrénées, en Occitanie. C'est un groupe d'archéologues et d'historiens rassemblant des universitaires de Paris Descartes, avec l'appui de membres du « Explorers Club » new-yorkais, qui se sont occupés de la besogne.
Cela fait plusieurs mois que les chercheurs examinent les différents travaux de Jules Vernes, ainsi que sa tombe, afin d'y trouver tous les secrets qui auraient éventuellement pu y être cachés. Après avoir utilisé des algorithmes complexes, dont le rôle dans la découverte est encore sibyllin, puis quelques drones équipés de radars capables de pénétrer la matière, les curieux chercheurs ont pu localiser une boite en fer.
Des manuscrits et des objets métalliques.
Prestement déterré, l'objet est porteur de quelques gravures illisibles, sans aucune autre caractéristique notable. Mais ce qui compte, ce n'est pas la boite, c'est ce qui se trouve à l'intérieur de la boite. Enfin, encore une fois, en réalité nous n'en savons rien, même si les premières analyses effectuées au moyen de la puissance des rayons X, ont révélés la présence de livres, de documents et d'objets métalliques divers. De leur côté, les scientifiques espèrent avoir affaire à des travaux inédits de l'écrivain français.
L'instant présent est à une fastidieuse analyse des papiers contenus dans le coffre. Une tâche qui s'avère délicate, car, si les documents datent bien de l'époque du romancier Jules Verne, ils ont plus d'un siècle d'existence. Il va donc falloir les manier avec circonspection, si l'on ne veut pas que les supposés précieux documents ne tombent en poussière. Le contenu de la boite sera dévoilé dans les mois qui viennent. En patientant, on peut lire quelques ouvrages de monsieur Verne, comme Michel Strogoff ou les Cinq Cents Millions de la Bégum.