single.php

Le Parti socialiste est-il mort, comme DSK le laisse entendre ?

Malgré l'état de ruines du PS, de nombreux candidats émergent pour en prendre la tête.

 

Le grand cadavre à la renverse n’est pas encore froid. Les quadras du Parti socialiste s’inspirent de leurs aînés et veulent le faire revivre. Chacun doit régler quelques problèmes.

NVB aimerait bien se présenter à la tête du parti, mais elle n’a pas de travail et la fonction n’est pas rémunérée. Elle plaide pour que la fonction de dirigeant du parti soit salariée. Autre problème, Boris Vallaud, son époux, est également sorti de l’ombre ces derniers mois et est devenu la coqueluche des médias. Il va falloir trouver un accord. Les histoires de couples, au PS, on connaît, avec la référence Hollande-Royal.

Luc Carvounas, ex-maire d’Alfortville, ex-Vallsiste, prétend se trouver au carrefour des gauches et veut rassembler. Il sera officiellement candidat dans quelques jours avec la conscience nette qu’il faut repartir de zéro et que le parti est en état de mort clinique. Il se rapproche presque de DSK de ce point de vue.

Sa démarche est suivie de près par tous les caïmans, Hollande, Bartolone, mais aussi Aubry et Hidalgo, qui regarde de près les évolutions. Si elle reste discrète, la maire de Paris estime que la situation politique chez les socialistes correspond à ce qu’elle avait toujours dit : ‘La mairie de Paris reste la seule place forte des socialistes’.

Écoutez l'édito de Michaël Darmon dans le Grand Matin Sud Radio, présenté par Patrick Roger et Sophie Gaillard

 

L'info en continu
23H
21H
19H
18H
17H
16H
15H
14H
13H
12H
Revenir
au direct

À Suivre
/