Bercoff dans tous ses états du 2 octobre

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Et puis j'ai pas le temps.
- Il ne faut absolument pas tenter de reproduire ou d'imiter le contenu de ce programme.
- Plus vous serez agressif, plus je serai respectueux.
- Nous sommes en guerre.
- Magnifique, vous avez entendu Michel Barnier.
- Michel Barnier hier, on va en parler évidemment.
- C'était l'Assemblée Nationale, le grand discours de politique générale du nouveau Premier Ministre et la fronde des élèves de la France Insoumise.
- Vous avez vu, ils ont agité leur carte, on va en parler.
- Intéressant, petits échanges comme ça.
- On verra le reste.
- Et puis on va parler, évidemment hier, le débat des vice-présidents des élections américaines.
- On va en parler plus tard.
- Avec des perles, avec des perles incroyables sur ce pays qui est l'un des plus démocratiques, sinon le plus démocratique du monde, les Etats-Unis d'Amérique.
- Mais alors, il y a des trous dans la raquette.
- Et vous allez voir quels trous dans la raquette, y compris dans la raquette électorale.
- Et puis nous allons recevoir, là, tout de suite, très très très vite.
- Et nous allons recevoir Caroline.
- Caroline Imerzouken.
- Caroline Imerzouken, elle a un immeuble.
- Cet immeuble est squatté depuis deux ans.
- Elle ne peut pas le récupérer.
- Pourtant, c'est son immeuble.
- Ah, mais c'est comme ça.
- Il faut que vous sachiez, auditeurs de César Dure, résistants de Tudoradio, ceux qui sont propriétaires, si vous avez une maison ou un appartement, que vous allez en vacances ou que vous allez rejoindre vos parents ou vos amis pendant deux semaines, trois semaines, que vous retourniez et qu'il y a des squatteurs qui occupent votre appartement ou votre maison, eh bien, vous ne pouvez pas rentrer.
- Eh bien, oui.
- Vous allez voir la police.
- Eh bien, oui.
- Mais il faut prendre un avocat.
- Il faut suivre une procédure judiciaire.
- Eh oui.
- Ça fait partie de ces lois qui n'ont pas été changées en France.
- Ça fait partie de l'axisme merveilleux de la douce France, cher pays de notre enfance, berceau de tendre insouciance.
- C'est magnifique.
- Et puis, on va se voir, justement, on va parler d'insécurité.
- Mais non, il n'y a pas d'insécurité.
- Rappelez-vous ce que disait Éric Dupond-Moretti, l'ancien ministre de la Justice, qui dit ce que le monde entier nous envie.
- Il y a un sentiment d'insécurité.
- Il n'y a pas d'insécurité.
- Eh bien, Christophe et Hoche-Duval n'est pas d'accord.
- Ils nous parlent de son livre, Le prix de l'insécurité, la défaillance de l'État.
- À tout de suite.
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Bercov, dans tous ses états.
- Dans tous mes états ? Non, non, non, non.
- Vous savez, on parle beaucoup des problèmes scolaires, de la violence à l'école.
- Et le chahut à l'école, le chahut à l'école.
- Eh bien, hier, il y a eu un chahut à l'école.
- Et ce n'était pas une zep.
- Ce n'était pas dans les quartiers en difficulté.
- Ce n'était pas dans les quartiers populaires.
- C'était, devinez, au Palais Bourbon.
-...

Transcription générée par IA