Par André Bercoff avec Benoit Perrin, Sébastien Liebus, David Duquesne
Bercoff dans tous ses états du 4 novembre avec l'école privée privée de financement au profit de l'école publique
Au programme : L'école privée privée de financement au profit de l'école publique / une étudiante iranienne en sous-vêtement dans la rue en Iran pour alerter sur le droit des femmes / Parution du meilleur du Gorafi
Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, Bercov, dans tous ses États. Nous sommes en guerre. Encore une polémique à Sciences Po.
- C'est un courage absolument admirable d'une étudiante iranienne. Elle est en sous-vêtements dans la rue.
- L'association collective féministe qui dit lutter contre l'oppression sexiste, raciste et capitaliste. Une association qui organise une réunion non mixte et non blanche.
- Parce qu'elle vient d'être harcelée quelques minutes auparavant par la police des mœurs.
- Les femmes auront des droits, le droit de respirer. Mais ça va pas bien.
- Évidemment, une image totalement insoutenable pour le régime iranien.
- Nous avons aussi décrété que les femmes avaient désormais le droit de porter des burqas colorés.
- Mais attendez, de quoi on parle ? Les couleurs réglementaires seront marron foncé, bleu foncé et noir foncé.
- Déconnisez-vous ! Nous sommes en guerre.
- Quelle guerre ! Et quelle guerre ! Est-ce qu'on est en... Au moins en... Parce que je ne m'entends pas, là, en micro.
- On est en guerre, c'est très bien.
- Et on est en guerre pourquoi ? Oui, parce que je ne m'entendais pas dans le micro, et c'est...
- Eh bien, on est en guerre parce que...
- Surtout les fronts. Dans deux jours, les élections américaines.
- L'Amérique en guerre avec elle-même.
- Russie-Ukraine, Proche-Orient.
- Et en attendant, on va parler aussi de la guerre de l'école.
- Comment guerre de l'école ? L'école privée, mais c'était vie, c'était réglé, c'était les manifestations.
- Bon, sur 1984, non, non, non, non.
- Un amendement, ça revient, on va en parler, avec le directeur de Contriblables Associés.
- Il se passe des choses sur ce front-là, on ne sait pas jusqu'où.
- On va parler de ça, et puis on va parler de cette extraordinaire, terrible séquence de cette étudiante iranienne se mettant en sous-vêtements parce qu'elle est harcelée par les Spassijis et la police iranienne.
- Et on se demande ce qu'elle est devenue, et c'est terrifiant.
- Ça se passe aujourd'hui, en 2024.
- Et puis, on va évidemment parler du Gorafi.
- Vous savez, tout le monde connaît le Gorafi.
- Tous ceux qui vont sur les réseaux sociaux connaissent le Gorafi.
- Drôle, parodique, plein d'humour, politiquement incorrect, au très très bon sens du terme.
- Et puis, nous allons recevoir...
- David Duquesne ne fait pas ton français.
- Pourquoi ? Eh bien, très très très beau livre, confession sur le métissage et ses effets pervers.
- Alors, ça vous rappelle quoi ? Ça vous rappelle évidemment l'extraordinaire thriller de Michael Jackson qui date de 40 ans déjà, hein ? 1983-84, thriller.
- Et qui a composé cela ? Qui a arrangé cela ? Eh bien, le très très très très très grand arrangeur, le plus grand arrangeur des Etats-Unis, le plus grand compositeur des Etats-Unis, Quincy Jones.
- Quincy Jones.
- Il est mort à 91 ans.
- Il a fait, vous savez, « We are the world, we are the children ».
- Très bien.
- Voilà, c'était tout le showbiz américain les plus grands.
- Évidemment, Michael Jackson et Bob Dylan et Bruce Springsteen, tous, tous étaient là.
- Ils étaient une quarantaine, une cinquantaine...
Transcription générée par IA
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