Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, Bercov dans tous ses états. » « Nous sommes en guerre. » « François, tu veux un chocolat chaud ou froid ? » « Euh, tiède maman. » « C'est une proposition de loi que je vais déposer la semaine prochaine qui vise à... » « Méfiez-vous, méfiez-vous de ce que vous allez baver. » « À interdire les méthodes létales et cruelles à l'encontre des pigeons. » « Bayrou, 10. » « Ah ! » « Comme d'habitude. » « Parce que l'âge les a fait ce qu'elles sont. » « J'en tiens un. » « Comment est-il ? » « Un champion du monde. » « Je connais des femmes qui ont un physique... » « Il est hors concours celui-là. » « Vous êtes toutes en pleine jeunesse et en pleine potée. » « Toi, tu creuses. » « Et puis, il y a des femmes qui pèsent plus lourd que d'autres. » « C'est comme ça que tu es une heure. » « Ça n'arrête pas. » « Je n'accepte pas que vous riez. » « Nous sommes en guerre. » « Mais non, mais non, mais non, mais non, Emmanuel Macron. » « Nous ne sommes plus en guerre. » « Nous sommes en paix. » « Car vous avez choisi le pacificateur. » « L'homme qui ramènera la sagesse en France. » « Il était temps. » « Car c'est l'homme du centre. » « L'homme de la sagesse. » « Vous avez choisi François Bayrou. » « Et tout s'éclaire. » « Tout s'apaise. » « Vous avez vu comme ça va mieux ? » « Vous avez vu les sourires dans la rue ? » « Vous avez vu l'économie qui se redresse ? » « Vous avez vu le chômage qui s'effondre ? » « François Bayrou est là. » « Enfin là. » « Enfin là, vraiment ? » « Eh bien, écoutez, on va en parler. » « Bien sûr. » « On va parler de tout le reste. » « Je rappellerai simplement que ça fait très exactement un mois, jour pour jour, que l'écrivain franco-algérien Boalem Sansal est emprisonné en Algérie. » « On ne sait pas ce qui se passe. » « On n'a pas de détails. » « Voilà. » « Un écrivain emprisonné. » « Un écrivain mis aux arrêts. » « Vous savez, c'était De Gaulle qui disait à propos de Sartre. » « On ne met pas Voltaire en prison. » « On ne met pas un écrivain. » « On ne met pas un écrivain en prison quand on est une démocratie, que ce soit en Algérie ou en France. » « Le reste, eh bien, ce qui se passe à Mayotte, terrifiant, ce cyclone, on va en parler aussi avec les personnes qui sont sur place. » « Nous allons entendre quelques réactions. » « Les perles, les huées, les bravos, Ercidias ou Dé, la...
Transcription générée par IA