Retranscription des premières minutes du podcast :
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- Les homosexuels, ils sont officiellement autorisés à devenir prêtres.
- Qu'est-ce que ça signifie ? On va en parler avec l'abbé Mathieu Raffray.
- Est-ce que c'est changement, mutation ou autre ? Et puis, Ségolène Royal sur l'Algérie.
- Et puis alors, Rima Hassan devant Mathilde Panot.
- Alors là, c'était un grand moment, effectivement.
- Qu'est-ce qui se passe entre les insoumis et les pro-Palestine ? Et tout cela, il y a quelque chose...
- Y a-t-il du mou dans la carte à nœuds ? Y a-t-il de l'eau dans le gaz ? On va en parler.
- Et LFI qui prépare la présidentielle.
- Et en seconde partie de l'émission, nous allons recevoir Florence Bergeau-Blaquer, que nous avons déjà reçue.
- Vous savez, elle est anthropologue.
- Elle est chargée de recherche au CNRS.
- Et elle a écrit « Le frérisme, à savoir les frères musulmans et ses réseaux.
- L'enquête aux éditions Odile Jacob ».
- On va prendre le temps de parler de ce qui se passe au niveau de ce communautarisme.
- Et du reste, vous savez, toujours, toujours, question à tout.
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
- Véni, vidi, mais vici.
- Il est venu, il a vu, mais a-t-il vaincu ? Nous parlons évidemment.
- De François Bayrou, hier, dans sa déclaration à l'Assemblée nationale.
- On va en parler tout de suite avec Tom Benoît.
- Nous allons prendre le temps de décortiquer tout cela.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- Alors, faut-il préférer France Gall à François Bayrou ? Je ne sais pas.
- Ma déclaration.
- Mais ça a été, voilà, assez long, assez mouvementé.
- Mais voilà, le Premier ministre de la France, le Premier ministre d'aujourd'hui, eh bien, il a parlé, et il a parlé de plusieurs choses.
- Alors, Tom Benoît, bonjour.
- Bonjour, André.
- Bonjour, vous êtes économiste, vous êtes directeur de l'action des jeux aux stratégies magazine.
- Et puis, on vous reçoit assez souvent pour vos analyses.
- Et en général, nous ne sommes jamais mécontents du résultat.
- Simplement, on va peut-être énumérer un peu certaines choses.
- Je voudrais qu'à chaque fois, on en parle.
- Par exemple, il a commencé, donc, François Bayrou, à dire, il faut lutter contre l'endettement.
- Ça, c'est clair qu'il faut lutter contre l'endettement, comme il faut lutter contre la grippe, la maladie ou la grippe aviaire.
- Alors, il dit, voilà, tous les partis de gouvernement, a-t-il dit, sans exception, ont une responsabilité dans la situation d'endettement créée ces dernières décennies.
- Eh oui, dernier budget en équilibre, on le rappelle, on l'a déjà suffisamment dit.
- C'était il y a exactement 50.
- Donc, l'épée de Damoclès, alors, il dit, il entend réviser à la hausse l'objectif de déficit public du pays à 5,4% du PIB en 2025.
- Donc, on revoit la prévision de croissance pour 2025.
- Elle était de 1,1% avant l'incensure du président de gouvernement.
- Nous la fixons à 0,9, conformément aux prévisions de la Banque de France.
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Transcription générée par IA