Retranscription des premières minutes du podcast :
- Les journalistes de Frontières, avec un numéro spécial passionnant sur qui sont les responsables ou coupables, selon l'opinion, de l'invasion migratoire, en tout cas de la submersion.
- Parce qu'à droite, comme même à gauche, certains disent jusqu'à où, jusqu'où, jusqu'où, et quelle émigration ? On va en parler avec cette enquête des journalistes de Frontières.
- Mais auparavant, on va avec Agnès Verdi-Molinier, qu'on a toujours le plaisir de recevoir, fondatrice de l'IFRAP et directrice de l'IFRAP.
- Après, les paroles de Bernard Arnault.
- « Trop, c'est trop », dit Bernard Arnault. C'est quand même la première fois qu'il dit ça en public, de toute façon.
- Et puis, Éric Lombard, le ministre de l'Économie et des Finances, qui lui répond « Mais non, mais non, non, trop, c'est pas trop ».
- Alors, trop ou pas trop ? Eh bien, on va en parler. Ce n'est jamais trop de poser des questions.
- Évidemment, essayez d'y répondre.
- Ici, Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio, Bercov, dans tous ses états.
- Et ici, sur Sud Radio, dans l'émission et partout, d'où qu'on parle ? Eh bien, on parle des Français qui parlent au français, bien sûr.
- Alors, les Français riches, les Français pauvres.
- Les Français accablés d'impôts, qui n'ont plus que l'impôt sur les eaux.
- Et les autres, de quoi s'agit-il après les déclarations honnêtement sonores et flamboyantes de Bernard Arnault, l'homme le plus riche d'Europe, sinon du monde, et les répliques, pas exactement les répliques, mais quand même, de l'actuel ministre de l'Économie et des Finances, Éric Lombard.
- On va en parler tout de suite avec Agnès Verdier-Molinier. Écoutez.
- Sud Radio, Bercov, dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- ...
- Elle a au moins 50 ou 60 ans, cette chanson.
- Paye tes dettes, oui, d'accord.
- Il y a 50 ans exactement, le budget était en équilibre.
- 1974, la préhistoire.
- Et depuis, et depuis, les dettes publiques, les dettes privées, etc.
- On ne va pas refaire l'histoire.
- Vous l'avez déjà entendu ici.
- À la radio.
- Mais, qu'est-ce qu'il y a eu ? Eh bien, il y a eu quand même, depuis deux jours, ces déclarations.
- De retour des Etats-Unis.
- On en a parlé hier et avant-hier.
- Voici ce que disait Bernard Arnault, en général, très discret.
- Écoutez.
- Je reviens des USA, comme vous l'avez très gentiment noté.
- Et que j'ai pu voir le vent d'optimisme qui régnait dans ce pays.
- Et que, quand on revient en France, après avoir passé quelques jours aux USA, ...
- ...
- On a l'impression qu'aux USA, on vous accueille un bras ouvert.
- Les impôts vont descendre à 15%.
- Les ateliers qu'on peut construire aux USA sont subventionnés dans toute une série d'États.
- Et le président américain encourage ça.
- Le marché se développe très vite.
- Il faudrait faire comme aux États-Unis.
- Nommer quelqu'un pour slasher un peu la bureaucratie.
- Mais dès qu'on essaye de faire ça...
- Voilà, le rire, le sourire en tout cas de Bernard Arnault.
-...
Transcription générée par IA