Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501 Et non, auditeurs du Sud Radio, et non, résistants du Sud Radio, cette fois-ci, ce ne sont pas les Français qui parlent au français, continuez bien sûr, ce sont des Américains qui parlent aux Européens.
- Et alors là, ça fait beaucoup, beaucoup, beaucoup de vagues.
- Écoutez.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
- Sous-titrage ST' 501 Magnifique, magnifique, elle s'en lave les mains, vous entendez, et puis l'hymne européen qu'elle chantonne, c'est Ursula von der Leyen, pendant que, voilà, tout, tout, tout bouge, etc., et elle écoute, et on l'attaque, et elle se défend, et voilà.
- Ursula, mais le problème n'est pas Ursula, mais Ursula, c'est la statuette du commandeur, et derrière, qu'est-ce qu'il y a, ou devant, qu'est-ce qu'il y a ? Eh bien, il y a eu de sacrés, de sacrés discours.
- Et notamment, notamment, le vice-président américain, qui arrive, donc on s'est dit, bon, très bien, et il vient au premier jour de la conférence de la sécurité de Munich, et il dit des choses, et je ne vais pas raconter tout son discours, vous l'avez sans doute écouté, mais je voudrais dire quelques choses, les quelques extraits qui ont vraiment, vraiment, vraiment fait du bruit.
- Notamment, il dit ceci, il dit, écoutez, « La menace qui m'inquiète le plus en Europe n'est ni la Russie, ni la Chine, ni celle d'aucun autre acteur extérieur, ça ne veut pas dire qu'ils ne s'intéressent pas et qu'ils ne redoutent pas ce qui peut se passer en Russie et en Chine.
- Ce qui m'inquiète, dit Vance, c'est la menace venant de l'intérieur, c'est le recul de l'Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, les valeurs qu'elle partage avec les États-Unis d'Amérique.
- J'ai été frappé de voir qu'un ancien commissaire européen a semblé se réjouir récemment à la télévision du fait que le gouvernement roumain venait tout juste d'annuler une élection entière.
- Il a averti ce commissaire.
- Ancien commissaire européen, que si les choses ne se passaient pas comme prévu, la même chose pourrait se produire en Allemagne, je rappelle qu'il y a des élections le 23 février prochain.
- Et il continue, le commissaire européen, vous l'avez tous reconnu, un certain Thierry Breton.
- Tout, ajoute Vance, de notre politique vis-à-vis de l'Ukraine à la censure numérique est justifié au nom de la défense de la démocratie.
- Mais lorsque nous voyons des tribunes européennes annuler des élections et des hauts responsables menacées d'en annuler d'autres, nous devons nous demander si nous nous conformons à des normes suffisamment élevées.
- Et je dis nous, toujours Vance, c'est toujours Vance qui parle, parce que je suis profondément convaincu que nous sommes dans le même camp.
- Et je voudrais terminer là-dessus parce que je crois que c'est très important.
- Je vous le dis, nous sommes tous, en tout cas, sommés au bon...
Transcription générée par IA