Retranscription des premières minutes :
- Sous-titrage ST' 501 Vous multipliez.
- Le gouvernement va reculer pour mieux taxer. Il va tenir son projet.
- Au revoir, M. Anderson.
- Nous sommes en guerre.
- Et oui, oui, aujourd'hui, on est en guerre, mais plus que jamais.
- Alors, qu'est-ce qui se passe sur tous les fronts ? D'abord, les auto-entrepreneurs. Ils sont près de 3 millions.
- Et certains d'entre eux vont être touchés par la limitation de leur chiffre d'affaires par rapport à ce qu'ils auront payé comme TVA.
- Les auto-entrepreneurs, c'est ceux qui veulent encore, à petite base, entreprendre. Et oui, le mot « entreprendre », en France, on en parle beaucoup.
- Mais est-ce qu'on les aide vraiment beaucoup ? Est-ce qu'on les appuie ? Eh bien, on va en parler avec Fabien Puge.
- Et ça va être très intéressant.
- La guerre ? Eh bien, la guerre aussi.
- Réunion de sécurité, demain, autour du président Macron, qui reçoit aujourd'hui Volodymyr Zelensky.
- Alors, où on en est ? Eh bien, l'Union européenne aussi se mobilise.
- La Commission européenne se mobilise autour du Livre blanc.
- Oui, Livre blanc, pour vraiment se nous préparer, nous préparer à toute éventualité, y compris les plus, je ne dirais pas les plus terribles, mais les plus dangereuses.
- Voilà, on est là. Qu'est-ce que ça veut dire, cette mobilisation ? On va en parler avec Virginie Joron, députée européenne.
- Alors, qu'est-ce qui se prépare ? Et puis, on va peut-être parler des augmentations des salaires, par exemple, d'une certaine Ursula von der Leyen.
- C'est toujours intéressant de savoir.
- Alors, combien on paye, nous, pour tout ça ? Et puis, évidemment, les perles, les huées, les bravos.
- Racisme anti-blanc ou pas racisme anti-blanc ? Et puis, voile. Et voile, de quoi le voile est-il le nom ? Et qu'est-ce que le voile couvre ? On va en parler également.
- Et puis, dans la seconde partie de Bercov dans tous ses états, Laurence de Villers, qui est professeure en intelligence artificielle à Sorbonne Université.
- Et puis, alors, l'intelligence artificielle, tout le monde en parle, mais est-ce qu'on en parle précisément ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Et surtout, est-ce que c'est pour le meilleur ou pour le pire ? A tout de suite ! Alors, l'entreprise, les entrepreneurs, tout le monde en parle.
- Au-delà, il faut glorifier les entrepreneurs.
- Mais dans la réalité, est-ce qu'on les aide vraiment, ces entrepreneurs ? Il ne faut pas oublier que l'emploi, aux trois quarts, ce sont les entreprises.
- Mal, on dit oui, mais c'est les grosses entreprises.
- Et les petits, et les auto-entrepreneurs, il se passe quoi avec eux ? On en parle tout de suite.
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- Ma petite entreprise ne connaît pas la crise Banouille et l'exil des trésors Eh oui, oui, Alain Bachung, oui, oui.
- Qu'est-ce qu'on regrette, Alain Bachung ? Paix à son âme.
- Alors, ma petite entreprise ne connaît pas la crise.
- Ben, c'est pas vraiment le cas.
- Parce que si c'était le cas, il n'y aurait pas eu hier des manifestations dans plusieurs villes de France contre la réforme du régime de franchise TVA pour les micro-entrepreneurs.
- Et ça a été un peu partout.
- Et notamment...
- Et notamment à Bordeaux.
- Il y avait Flavien Puge.
- Bonjour, Flavien Puge.
- Bonjour, M. Bercov.
- Merci de m'accueillir dans votre émission.
- Ben, écoutez, c'est la moindre des choses parce que, justement, on voudrait savoir ce qui se passe pour les entrepreneurs.
- Donc, on rappelle quand même rapidement que ce auto-entrepreneur ou micro-entrepreneur, ça correspond à un régime français de travailleurs indépendants créé en 2008 pour simplifier la gestion administrative en remplaçant l'ensemble des cotisations sociales, des impôts, des taxes.
- Par un versement unique et proportionnel au chiffre d'affaires.
- Formidable.
- On simplifie.
- Enfin, en France, on simplifie.
- Ah, mais pas longtemps.
- À partir de 2011, les taux augmentent et le principe de cotisation unique est abandonné.
- Évidemment, c'était trop simple pour assujettir les auto-entrepreneurs à la cotisation foncière des entreprises, à la contribution formation, et puis en 2015, à la taxe pour les frais de chambre de commerce et d'industrie, etc., etc., chambre de métier et de l'artisanat, etc.
- Alors, Flavien Puge, pourquoi vous, et beaucoup d'autres, je...
Transcription générée par IA