Retranscription des premières minutes :
- « Ici Sud Radio. Les Français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau. Je n'aime pas la blanquette de veau. » Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Et qui aime, à votre avis, les zones à faible émission ? Vous allez me dire, c'est quoi les zones à faible émission ? Eh bien, on va en parler tout de suite parce que c'était réservé.
- Eh oui, il y avait un problème de population.
- Il y a, vous savez, ce que disait Orwell, tous les hommes sont égaux, mais il y en a qui sont plus égaux que d'autres.
- On va vous en parler tout de suite.
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- « Contravention, allez, allez, pas de discussion, allez, allez, exécution, allez, allez, je connais le métier. » Voilà, Beauville, la tactique du gendarme, la tactique du gendarme, contravaxion, exécution, etc.
- Eh bien, qu'est-ce qui se passe en ce moment ? Eh bien, il y a eu quelque chose qui s'est passé hier, hier, à l'Assemblée nationale, à la commission, effectivement, on va en parler, la commission de l'Assemblée nationale.
- Eh bien, il y a eu une proposition de loi présentée en commission, simplification de la vie économique par les députés de l'Assemblée nationale et des Républicains, eh bien, visant à abroger ces zones à faible émission.
- On en parle tout de suite.
- Bonjour, Pierre Meurin.
- Bonjour, M. Bercoff, merci pour votre invitation.
- Vous êtes député Rassemblement national du Gard, et c'est intéressant de parler de ce qui s'est passé.
- Vous, ça fait quand même 4 ans, à peu près, que vous vous occupez, notamment avec certains de vos collègues, mais que vous avez pris ça par le...
- Et un jour, j'avoue qu'on ne connaissait pas vraiment cela, on n'avait pas suivi ça, on ne peut pas malheureusement tout suivre, mais un ami écrivain qui est Alexandre Jardin est venu rappeler aux beaux souvenirs, mais il faut le dire, la bataille avait commencé bien avant, et on l'a reçu en janvier dernier, Alexandre Jardin, et voici juste un petit extrait de ce qu'il nous a dit à ce moment-là.
- Je fais un tweet où, pour la première fois, je parle de gueux.
- C'est-à-dire que le pays est en train de se scinder entre les citoyens riches, convenables, de centre-ville, et puis les gueux à qui on veut interdire les villes.
- Voilà, les gueux à qui on veut interdire les villes, mais alors maintenant, on va essayer de comprendre, Pierre Meurin, ces zones à faible émission.
- Ça veut dire quoi ? Ça a été fait dans quelle intention ? Comme l'enfer est bavé de bonnes intentions, donc vous allez nous l'expliquer.
- Et qui fait l'ange fait la bête, d'ailleurs.
- Merci beaucoup pour votre invitation sur ce sujet qui me tient à cœur depuis longtemps.
- Je demande la suppression des EDFE toute la sainte journée depuis trois ans.
- Donc hier, en effet, on a obtenu une grande victoire.
- D'ailleurs, je ne m'attendais même pas à cette ampleur pour cette victoire.
- En commission spéciale, comme vous l'avez rappelé.
- Alors, c'est quoi, les EDFE ? Les EDFE, c'est quoi ? C'est simple.
- Alors, ça procède de deux lois.
- La loi d'orientation des mobilités, qui date de 2019, et la loi climat et résilience de 2021, qui fait qu'on est passé d'abord de 12 EDFE au 1er janvier 2023, et 42 EDFE au 1er janvier 2025, avec les verbalisations au 1er janvier 2026.
- C'est-à-dire que vous allez prendre des prunes de 68 euros juste pour exercer votre élémentaire liberté de circulation.
- Les EDFE, le principe, c'est quoi ? C'est que vous avez un véhicule qui est supposé trop pollué, donc un véhicule, et en gros, l'indicateur de pollution, qui est, à mon avis, de la paresse intellectuelle, en gros, ils ont décidé que l'ancienneté et la motorisation des véhicules conditionnaient la pollution, ce qui est d'ailleurs parfaitement faux, on pourra en parler longuement.
- Voilà, donc au 1er janvier 2025, vous avez quelques métropoles qui interdisent jusqu'aux véhicules.
- Critère 3.
- Et ça peut se généraliser en 2026.
- C'est-à-dire qu'ils n'ont pas le droit de rentrer dans la métropole ? 15 millions, 13 millions, pardon,...
Transcription générée par IA