Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, André Bercoff.
- Ça balance pas mal.
- Bercoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
- J'ai pas envie de la voir, mais...
- Il m'est m'habiller non plus.
- Je suis une bille ou un héron.
- Moi, un lapin qui se sent poisson.
- Eh oui, eh oui. Est-ce que je me sens lapin ? Est-ce que je me sens poisson ? Est-ce que je me sens herbe folle ? Est-ce que je me sens arbuste ? Etc.
- Voilà. J'ai le droit d'avoir le genre que je veux.
- Homme, femme, hippopotame, tout ça.
- Voilà, c'est parti. C'est parti, on le sait, on en a déjà parlé.
- Mais, mais, mais, un projet, un projet, c'est encore à l'état de projet et de recommandation.
- La Haute Autorité de Santé, ce qu'il a de plus officiel, eh bien, écoutez, elle fait des recommandations.
- Elle fait des recommandations intéressantes.
- Et juste, je résume, on va en parler avec la saint-atrice, Jacqueline Eustache-Brignaud.
- Donc, elle dit, voilà, par exemple, par exemple, l'identité de genre ne doit pas faire l'objet d'une évaluation psychiatrique spécifique.
- Voilà. Si quelqu'un a des problèmes de genre, non, non, pas la peine de voir les psychiatres ou les psychologues.
- Eh bien, apparemment, ce n'est pas la peine, ça ne sert à rien.
- Deuxièmement, on recommande toujours à la Haute Autorité de Santé la mise sous hormone de personnes trans qui la demandent, après une information éclairée, bien sûr, après une information éclairée, mais il faut quand même sécuriser, l'accès aux hormones d'affirmation de genre, en rembourser la prescription et élargir la primo-description, c'est-à-dire, attention, la porte ouverte pour la mise sous hormone, etc.
- Troisièmement, les personnes trans qui le demandent doivent pouvoir accéder aux chirurgies d'affirmation de genre sans délai supplémentaire, délai de réflexion, tout ça, non, non, non, non, sans délai supplémentaire et formés d'agentages de chirurgiens, d'ailleurs, afin de proposer une offre de soins.
- Suffisant, voilà, la porte est ouverte, c'est open bar, quand vous voulez, évidemment, on prendra les précautions, mais on y va.
- Quatrième, quatrième chose, la Haute Autorité de Santé toujours recommande d'envisager les demandes mineures âgées de 16 à 18 ans, ayant achevé leur puberté, au même titre que les demandes des adultes.
- Donc voilà, dès 16 ans, écoutez, il n'y a pas de problème, y compris les interventions chirurgicales, notamment la chirurgie du thorax, seule la chirurgie génitale est soumise à une légère réserve.
- Ah oui, voilà, ils ont quand même des réserves.
- Et enfin, s'agissant des mineurs, donc 16 à 18 ans, il est recommandé, dit la Haute Autorité de Santé, de mettre en place une médiation avec les parents pour les pousser, pour les pousser, écoutez, moi, il faut que t'aies les termes intéressants, à accepter les décisions de leur enfant mineur.
- Mais, mais, ajoute toujours, en projet, en recommandation, la Haute Autorité de Santé, si les parents persistaient à refuser la demande de leur enfant, la Haute Autorité préconise alors, écoutez-moi bien, un signalement pouvant aller jusqu'à...
Transcription générée par IA