Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio André Bercoff.
- Bercoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
- Oui, rappelez-vous, on disait ça, M. Pangolin, Mme Chauve-Souris.
- À Ouen, dans ce laboratoire de Ouen, fondé notamment par l'Inserm, nous avions participé, et voilà qu'à côté, dans un marché pudique de cette Chine éternelle, un Pangolin et une Chauve-Souris s'unirent, s'accouplèrent pour donner ce terrible virus qui enflamma la planète.
- Bon, ça a tenu quelque temps, et puis les rares personnes, les rares personnes, on rappelle, nous, on avait fait écho en disant, nous ne prenions pas parti, nous ne sommes ni virologues, rivologues, j'allais dire.
- Je m'en étouffe.
- Ils disaient, mais écoutez, vous êtes sûrs que ça n'a pas échappé d'un laboratoire ? Mais non, comment vous avez dit ça, bande de complotistes ? Les quelques médecins qui, notamment, notamment, un prix Nobel de médecine.
- Et oui, Luc Montagnier.
- Luc Montagnier, nous avons recueilli son dernier interview, son dernier entretien, c'était sur Sud Radio, à mon émission, c'était en novembre 2021.
- Mais auparavant, déjà.
- En 2020, c'était en plein confinement.
- Nous avions parlé au téléphone avec lui, et voici ce qu'il nous avait dit, je dis bien, en 2020.
- Écoutez.
- Ce virus avait toutes les qualités pour être produit par des laboratoires de haute sécurité, avec des chercheurs très compétents en biologie moléculaire.
- Alors, bien sûr, l'hypothèse naturelle est toujours possible, mais enfin, nous, ce que nous avons trouvé, c'est qu'il y a une partie du génome, c'est-à-dire le long ruban de RNA qui porte l'information génétique du virus, une toute petite partie, moins de quelques pourcentages, est tout à fait étrangère au virus.
- Elle est probablement d'origine externe, extérieure.
- C'est pour ça qu'on parle d'éléments exogènes du virus.
- Et cette partie contient effectivement des morceaux, des petits morceaux du virus du SIDA, deux virus du SIDA, écoutez, famille, d'une part, et d'autre part, elles sont concentrées dans un tout petit morceau du génome du virus.
- Donc, ce n'est pas du tout au hasard que ces séquences existent.
- Elles sont concentrées dans une toute petite partie.
- Et alors, la surprise également, c'est que, comme ce virus évolue très vite, il mute, il a des mutations, et ce qu'on appelle des délutions.
- C'est-à-dire une partie.
- Et ce qui est très curieux, c'est que c'est justement cette partie porteuse d'éléments extérieurs qui disparaît le plus vite.
- Donc, comme s'il y avait une sorte de rejeton.
- Donc, le professeur Luc Montagnier, et il disait, on a parlé pendant au moins 45 minutes à une heure, il posait la question, il disait, normalement, écoutez, on pense que ça a été fabriqué en laboratoire, je rappelle qu'on l'a traité de sénile, on l'a traité à ce moment-là, dire n'importe quoi, c'est quand même l'un des découvreurs du virus suicida, mais voilà, il avait vieilli, paraît-il, et d'ailleurs, à son enterrement, il n'y avait pas de communiqué officiel, pas de membre du gouvernement, personne, c'est intéressant.
- Et voilà-t-il pas que le nouveau patron de la CIA,...
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