Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio André Bercoff.
- Bercoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
- Allez, allez, les bleus et blancs nous l'avirons baïonner.
- C'est la peignard, c'est la peignard baïonna.
- La peignard baïonna, oui, les fêtes de Bayon Kiko qui est passée par Bayonne, a entendu ça, merveilleuse chanson.
- Et pourquoi ? Parce que justement, et heureusement, dans ces temps difficiles, on fait la fête et on fait plus que jamais la fête.
- Et ce qui est formidable, ce sont les fêtes traditionnelles, les plus belles fêtes, vous le savez très bien.
- Où que vous viviez en France, vous avez entendu et vous avez participé bien sûr aux fêtes du village, de la ville, ces traditions qui sont formidables.
- Juste je rappellerai, parce que c'est lié, nous avons reçu donc ces oppositions aux éoliennes.
- Là, dans le Champenois, si vous voulez faire des dons, si vous voulez les contacter, vous allez sur le site internet de ECEP, c'est Environnement Champenois en Péril, ECEP51.fr, voilà, et puis vous les contactez et vous faites des dons, ce sont des gens qui se battent et il faut toujours faire des dons aux gens qui se battent, en tout cas pour des causes, si cette cause vous semble bonne.
- Quentin Léloir, bonjour.
- Bonjour.
- Alors vous, vous êtes influenceur et puis vous avez fondé, alors c'est intéressant que j'en ai entendu parler, le Guide Gaulois.
- Alors c'est quoi ? Vous avez suivi Astérix dans toutes les régions de France et de Navarre ou quoi ? Le Guide Gaulois, déjà Gaulois parce qu'on a tous des souvenirs avec Astérix et Obélix, de convivialité lors de leurs banquets par exemple, et le Guide Gaulois c'était...
- La potion magique ? Exactement, mais ça on essaye de ne pas trop en boire.
- C'est parti d'un constat, c'est qu'on parle beaucoup de nos...
- de notre patrimoine bâti, par exemple notre gastronomie, mais notre patrimoine vivant, que sont les fêtes et les traditions, on en parle assez peu.
- Et c'est à ce moment-là que j'ai lancé mon tour de France, où je suis parti visiter les villages et leurs fêtes.
- Vous êtes parti un peu partout, vous avez fait un vrai tour de France.
- Un vrai tour de France et qui continue.
- Je suis bientôt à 100 fêtes de filmées, parce qu'on filme pour les offices de tourisme, pour les comités des fêtes qui ont un besoin aussi en communication, c'était aussi ça l'idée, de dire que souvent on a une affiche qui est placardée devant le village, avec des couleurs criardes un peu passées on va dire, et aujourd'hui c'est aussi de dire, de remettre en lumière de manière un peu plus actuelle nos fêtes, et de donner envie aussi aux gens d'y retourner.
- Alors est-ce qu'elles sont vivantes les fêtes, puisque vous avez fait un tour, est-ce que les gens y vont, est-ce qu'il y a toujours ce même engouement pour les fêtes, parce qu'on dit toujours maintenant, oui la télé, le portable, l'internet, etc.
- Est-ce qu'il y a toujours, ou pas, dans ce que vous avez vu, dans les villages que vous avez traversés, ou les villes, il y a toujours cette envie de faire la fête traditionnelle, je parle ? Alors je pense que oui, il y a quand même un retour aux fêtes.
- Il y a des difficultés de manière locale, par exemple sur les financements ou sur les bénévoles, mais vu qu'elles sont ancrées sur des territoires, et les gens ont quand même une certaine volonté de les vivre, parce que leurs parents y étaient, je pourrais citer la fête de l'ours, où en fait c'est un jeune qui va être déguisé en ours, et souvent le père l'a fait, ou le grand-père l'a fait.
- C'est où ça, la fête de l'ours ? C'est en Catalogne française, dans le Val-es-Pires plus précisément, c'est dans trois villages différents, Prats-de-Moyau en particulier.
- Et il y a un jeune qui se déguise en ours, et on le poursuit ? Il l'habille en ours.
- On le poursuit ? Non, c'est lui qui vient poursuivre dans le village les gens présents, et il vient les mâchurer, il les peint en noir, il vient les tâcher.
- Et...
Transcription générée par IA