Par Jean-Jacques Bourdin avec François Trillo
Antoine Dupont s’est confié en exclusivité sur Sud Radio
Antoine Dupont s’est confié en exclusivité au micro de François Trillo pour Sud Radio : écoutez son interview
Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- C'est l'homme du rugby sur Sud Radio, la radio du rugby.
- François Tréhaut, bonjour François.
- Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous.
- François, vous avez réussi cet exploit parce qu'il parle peu.
- François, notre ami Antoine Dupont, enfin je dis notre ami, moi je ne le connais pas, mais vous le connaissez bien.
- Antoine Dupont, il parle peu, il s'exprime peu, il se confie peu.
- Et là, il s'est confié à vous François, qu'elle est là ? Alors, on peut écouter l'interview sur sudradio.fr, mais on va l'écouter à la radio à partir de 9h30.
- En gros, que dit-il ? Qu'est-ce qu'il avait envie de dire François ? C'est toujours un moment important parce que moi, qui fais quand même du rugby et qui prête le rugby, je n'avais jamais eu l'occasion de passer autant de temps avec Antoine.
- Tout le monde l'appelle Antoine, donc on peut l'appeler Antoine.
- Et donc, non, non, mais il a été, je dirais, fidèle à lui-même.
- C'est-à-dire, ce n'est pas le plus bavard, mais il est toujours très percutant, très précis, très tranché.
- Donc, ça a été un moment où on a passé trois quarts d'heure ensemble.
- C'était la semaine dernière à Toulouse et ça sera à 9h tout à l'heure sur Sud Radio.
- Oui, François, précis, vous avez employé un mot que j'aime en ce qui concerne, parce qu'il est précis dans son jeu.
- Précis dans sa communication.
- Il la maîtrise totalement.
- Oui, c'est vrai qu'il la maîtrise, mais à la fois, c'est bien normal.
- Moi, je trouve toujours très intéressant à écouter, même dans les conférences de presse qui, parfois, sont un peu incibibles.
- Oui, lui, il est toujours très précis.
- Alors, il ne fait pas de grandes envolées, mais il n'y a pas de mots utilisés inutilement.
- Voilà.
- C'est toujours un bon escient.
- Donc, on se souvient notamment de sa sortie après le quart de finale de la Coupe du Monde, après l'arbitre.
- Bon, il avait été précis, dur avec l'arbitre, mais précis.
- Donc, il a été comme ça tout au long de notre entretien.
- Et voilà, moi, j'ai trouvé qu'il s'est engagé, vous voyez, comme sur le terrain.
- Alors, il s'est engagé sur quelles questions ? Ah ben, ça, je vous laisse.
- Le soin de le découvrir à 9h.
- Mais il faut teaser un petit peu.
- Mais non, on est revenu notamment sur l'impact des JO.
- On va dire sa notoriété qui s'est retrouvée un petit peu boostée quand même.
- Comment il vit aujourd'hui ? C'est-à-dire, est-ce qu'il a besoin de se mettre une perruque et des lunettes pour pouvoir sortir de chez lui ? Des choses comme ça.
- Voilà.
- Donc, un peu ce que tout ça a changé.
- Moi, j'ai trouvé étonnamment serein, étonnamment ambitieux aussi.
- Parce qu'il faut...
- Il faut avoir...
- L'envie de retrouver le 15 de France, vous voyez, qui va arriver d'ici quelques jours.
- Donc, non, c'était un bon moment.
- Il est sensible aussi aux questions sociétales.
- Oui,...
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