Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le réseau des chambres de métier de l'artisanat, artisan de la nouvelle économie présente Sud Radio C'est ça la France, Nathalie Schrengerma Bonjour à tous et bienvenue dans C'est ça la France, l'émission du savoir-faire français.
- On aime vous faire découvrir des parcours d'entrepreneurs et aujourd'hui c'est une femme qu'on va vous présenter, Adélie Curté, une jeune femme de 26 ans qui a fondé une marque de bijoux d'oreilles nébuleuse que l'on reçoit au micro de Sud Radio.
- On va parler de son parcours, de ce qui lui a donné envie de se lancer dans l'entrepreneuriat.
- Sud Radio C'est ça la France Bonjour Adélie.
- Bonjour.
- Une jeune femme de 26 ans, comme je viens de le dire, qui a abandonné entre guillemets ses études pour se lancer dans l'entrepreneuriat.
- C'est vrai que ce n'est pas commun, c'est-à-dire qu'en France on n'est pas toujours encouragé comme ça aussi jeune.
- Non, ça c'est sûr.
- Oui, j'ai tout de suite voulu me lancer dans l'entrepreneuriat parce que dans mes études on n'est pas forcément poussé à entreprendre.
- L'université, ce n'était pas trop ce qui me plaisait.
- Moi, j'avais au fond de moi cette envie de créer quelque chose, donc je me suis lancée.
- Alors, qu'est-ce qui vous a donné envie de créer cette marque nébuleuse ? Expliquez-nous justement ce qu'il y a derrière.
- Qu'est-ce que vous proposez concrètement ? Donc, nébuleuse, c'est une marque de bijoux d'oreilles à accumuler.
- Donc, l'idée c'est de créer ses propres compositions, acheter ses bijoux à l'unité.
- Et donc, comment c'est venu ? C'est que j'étais...
- J'étais étudiante à cette époque et j'étais percée aux oreilles.
- J'avais deux problèmes.
- C'est que le premier, j'avais vraiment du mal à cicatriser.
- J'avais des infections.
- Je vous passe les détails.
- Et puis le deuxième, c'est que les bijoux qu'on m'avait posés, donc c'était les bijoux de première pose, ne sont vraiment pas élégants, pas esthétiques.
- C'est-à-dire que c'est des bijoux, vous savez, tout simples, tout...
- Mais en général, ce n'est pas plutôt de l'or plaqué ou de l'argent plaqué ? Non, c'était des bijoux soit en titane, soit en acier chirurgical.
- Mais c'est couleur vraiment acier.
- C'est très, très brut.
- Et moi, je rêvais de créer mes propres compositions de bijoux dorés, un petit peu scintillants, etc.
- Et donc, je ne trouvais absolument pas mon bonheur sur le marché français.
- Ni dans les centres perceurs, ni dans les boutiques, ni en ligne.
- Je passais beaucoup de temps aussi en ligne sur l'ordinateur, étant étudiante.
- Et sinon, il y avait des très beaux bijoux qui existaient, brillants, en or et en diamant.
- Mais évidemment, je ne pouvais pas me les offrir.
- C'est un peu autre chose.
- C'est un autre niveau.
- Voilà, exactement.
- Donc, voilà comment l'idée...
- C'est étonnant.
- C'est-à-dire qu'en fait, en bijoux piercing, au niveau de l'oreille et du lobe, c'est vrai qu'il n'y avait pas de proposition intéressante.
- Enfin, un peu coquette, quoi.
- Exactement.
- C'était des bijoux soit bruts, comme je vous le disais au départ, donc tout...
Transcription générée par IA