Retranscription des premières minutes :
- Artisans, porteurs de projets, apprentis, les chambres de métiers de l'artisanat vous accompagnent.
- La CMA, artisans de la nouvelle économie, présente...
- Sud Radio C'est ça la France, Nathalie Schrengerma.
- Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans C'est ça la France, l'émission du savoir-faire français.
- On va s'intéresser aujourd'hui à l'importance de l'apprentissage en France, un pilier essentiel pour préserver, transmettre les compétences qui font la richesse de notre artisanat.
- L'artisanat français, reconnu à travers le monde pour sa qualité, son savoir-faire, sa créativité et repose bien évidemment sur des traditions séculaires qui nécessitent une transmission rigoureuse et passionnée des connaissances.
- L'apprentissage, vous le verrez, il y a plein de secteurs différents, aussi bien la couture, la boulangerie, la charcuterie, alors je parle des métiers de bouche et pas que.
- Les secteurs sont très larges et variés.
- On va en parler justement avec notre premier invité, Jean-François Girardin, le président de la Société des...
- des MOF qui est avec nous.
- C'est parti ! Bonjour Jean-François ! Bonjour à vous tous ! Merci de m'avoir contacté, pas facile mais on y arrive.
- On y arrive, c'est le plus important, on est content de vous avoir.
- Alors vous êtes le président des MOF.
- On connaît bien les MOF, c'est les meilleurs OV de France, mais c'est les MAF qu'on préfère à Sud Radio aujourd'hui.
- On va en parler de ces MAF.
- Bien sûr.
- Ces meilleurs apprentis de France.
- C'est environ 6600 jeunes par mois.
- Par an, là, on a donc l'eau, les inscriptions fin janvier, au 31 janvier.
- 6600 jeunes dans 120 métiers différents et environ 6000 bénévoles qui s'occupent des sélections, présélections et inscriptions dans les départements, dans le territoire français, mais aussi dans les départements et territoires d'outre-mer comme à Tahiti, comme à La Réunion.
- Donc tous ces jeunes-là vont passer un concours qu'ils appellent le concours 1 des meilleurs apprentis de France dans leur métier, bien sûr, et ils vont tenter de se sélectionner par département, par région et après un concours national, soit par une exposition, soit en loge dans des centres de formation pour faire les finales nationales.
- Donc c'est une grande messe tous les ans, puisque le concours a lieu tous les ans et tous les ans, nous avons de plus en plus de monde.
- Ça nous inquiète un peu parce qu'on commence à être un petit peu débordés.
- Nous sommes des bénévoles à 100%.
- C'est-à-dire que tous ceux qui sont à la Société Nationale des Meilleureux de France, et qui travaillent pour le concours 1 des meilleurs apprentis de France, sont des bénévoles à 100%.
- Expliquez-nous justement l'importance de ce concours pour les jeunes artisans et comment ils valorisent leurs compétences ? En quoi c'est important ? Ce sont des jeunes qui sont en formation dans des centres de formation ou des formations individuelles ou privées.
- Tous les jeunes qui sont à l'apprentissage, qui sont en train d'apprendre un métier, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, qui ont un contrat d'apprentissage, et qui ont un contrat d'apprentissage, ils ont le droit de s'inscrire aux meilleurs apprentis de France.
- Il faut avoir moins de 21 ans.
- Sauf pour 17 métiers, bien parce que pour ces métiers-là, c'est souvent des métiers qui sont faits en plus d'un autre.
- Donc l'âge est un petit peu plus élevé.
- On pense à ceux qui sont dans le dentaire, les barman par exemple, ou d'autres métiers où c'est des compléments de formation.
- Mais en général, ce sont des jeunes qui ont moins de 21 ans, même plutôt la moyenne, 18-19 ans.
- Donc des très jeunes gens qui se sont lancés dans la compétition pour la première fois de leur vie, professionnellement.
- Et c'est pour ça qu'on encadre bien ces jeunes, parce qu'on ne veut pas qu'ils soient déçus.
- Bien sûr.
- Quand on se lance dans la compétition, il faut aimer, il faut oser le faire.
- Et quand on ose le faire, on est plein de bonne volonté, on va peut-être à un endroit qu'on n'a jamais cru aller, et...
Transcription générée par IA