Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Bonsoir, bonsoir, c'est excellent, votre rendez-vous du dimanche soir sur Sud Radio avec ceux qui excellent dans leur chemin.
- Il est connu pour ses récits émouvants et humanistes, souvent marqués par des éléments magiques ou surnaturels.
- L'écrivain Didier Vancovelart est de retour sur le plateau de cet excellent avec son tout dernier roman, « L'enfant qui sauva la Terre », sorti chez Albin Michel, histoire dans laquelle la santé de Thomas, le personnage principal, est lié à celle de la planète.
- Il transforme donc une bataille personnelle contre la maladie en une quête pour préserver l'environnement.
- Ou quand la fiction n'est pas très loin de notre réalité.
- Didier Vancovelart, bienvenue sur Sud Radio.
- Bonjour.
- Il possède une solide expérience de plus de 40 ans dans les médias, l'entertainment, les contenus ayant dirigé des entreprises de premier plan et créé plusieurs structures d'investissement et de production audiovisuelle.
- Fabrice Larue est désormais PDG de Pull Up Entertainment.
- Il emmène tout droit à l'entreprise de jeux vidéo vers les firmements de la réussite.
- Fabrice Larue, vous êtes tourné vers l'innovation, la diversification et vous continuez de transformer ce paysage du divertissement, mais cette fois de manière internationale.
- Et c'est excellent, bienvenue.
- Merci de nous recevoir.
- Avec plaisir.
- C'est excellent, chers auditeurs, bienvenue chez vous.
- Alors, Didier Vancovelart, votre nouvel ouvrage, je l'ai dit, c'est « L'enfant qui sauva la Terre », c'est sorti chez Albin Michel.
- Alors, c'est l'histoire de Thomas, c'est un jeune garçon de 12 ans qui, malgré un destin tragique, trouve une lueur d'espoir en se liant à la planète grâce à un clou de nom dont on ne sait pas très bien.
- S'il existe ou si c'est un extraterrestre, ou juste une vision de sa propre pensée.
- Ou une hallucination due aux symptômes de sa maladie orpheline, ou un complot de la bienveillance qui utilise cette créature étrange pour venir lui redonner un but, une envie de vivre, un sens de la vie.
- Vous savez, quand on dit à un gamin de 12 ans « on ne sait pas de guérir » et qu'on le met en soins palliatifs, et où, comme il le dira lui-même, « je suis là pour mourir le mieux possible », ce qui m'a frappé, moi, quand j'ai découvert ces centres, c'est cette énergie incroyable qu'ont ces gamins qui ont une maturité, une lucidité, et qui vivent en même temps intensément ces derniers moments.
- Il y a cet humour, souvent noir, mais aussi très positif, dans la manière instinctive de vouloir réconforter les gens du chagrin qu'ils ont, à cause de leur état.
- Et, comme il dit, quand il parle du personnel soignant, il les comprend, parce qu'il y a beaucoup de rotations, les gens qui partent, et puis qu'il faut les aider à tenir le coup.
- Un jour, une femme clown ouvre la porte de sa chambre et lui dit « la médecine ne peut rien pour toi, mais toi, tu peux soigner la terre, et c'est ce qui va...
Transcription générée par IA