Retranscription des premières minutes du podcast :
- 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovas.
- Bonjour à tous, ravi de vous retrouver et de finir cette semaine avec vous.
- Et avec vous tous, soyez les bienvenus dans C'est votre avenir.
- Les fins de semaine sont toujours un moment d'un nouveau souffle, celui de penser aux activités du week-end ou à des priorités familiales pour ceux qui ont des petites familles et bien d'autres, où rien ne change puisqu'ils travaillent toujours.
- Alors, courage à vous tous, mais aujourd'hui, dans quel état d'esprit êtes-vous ? Vous êtes plutôt soucieux, plutôt préoccupé par un avenir incertain, rempli de doutes, de peurs, de craintes ou d'hésitations, ou tout simplement l'envie et la curiosité de connaître ce qui va vous arriver demain ? Eh bien, n'hésitez pas à le faire en appelant le 0826 300 300.
- Vous connaissez le principe de l'émission.
- Vous vous exposez tout simplement.
- Votre problématique, aujourd'hui, c'est Aude au standard, notre belle Aude.
- Et vous aurez peut-être la chance de passer avec moi à l'antenne de Sud Radio.
- Et bien sûr, à la réalisation, c'est Julien.
- Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delovane.
- Alors, je rappelle que nous sommes en direct.
- Vous pouvez nous suivre sur YouTube.
- Nous sommes plus d'un million d'abonnés.
- Vous pouvez nous suivre aussi depuis le Facebook Live ou depuis l'appui sur Sud Radio.
- Je vous invite à la télécharger si vous ne l'avez pas fait à présent.
- Vous pouvez aussi nous retrouver, enfin, retrouver toutes nos émissions en podcast sur cette appli.
- Et bien sûr, si vous êtes en voiture, restez connectés à l'AFM et Aude A+.
- Dans quelques minutes, nous irons nous balader dans un endroit mystique, à Rennes-le-Château dans l'Aude.
- Un endroit qui attire de nombreux visiteurs et qui est aussi un endroit où une légende ou plusieurs légendes se trouvent.
- Et qui font parler de ce lieu-là.
- Mais à présent, j'accueille ma première auditrice, Nathalie.
- Bonjour, Nathalie.
- Bonjour, Alexandre.
- Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Nathalie.
- Merci beaucoup.
- Et vous nous appelez d'où ? De Paris.
- De Paris.
- Nathalie, vous travaillez actuellement dans quel secteur ? Alors, je suis dans l'accompagnement des personnes en transition professionnelle, qui est reconversion, formation.
- Oui.
- Une administration publique.
- Oui.
- Voilà, je suis actuellement salariée.
- D'accord.
- Et ça se passe bien pour vous ? On va dire, je me suis un peu lassée avec le temps.
- Vous êtes un peu lassée avec le temps.
- Aujourd'hui, vous vous posez des questions sur votre futur professionnel, c'est ça ? Oui.
- D'accord.
- Racontez-nous un petit peu.
- Alors, je me suis formée depuis plusieurs années en hypnose humaniste.
- Oui.
- Et puis, j'ai complété par une formation en sophrologie en 3 ans.
- D'accord.
- Et la question aujourd'hui, c'est cette transition au vu de mon âge, j'ai 56 ans.
- Oui.
- De me poser la question de, est-ce que je prends le risque de créer une activité où je reste à mi-temps et est-ce que surtout, est-ce que cette activité peut fonctionner ? Est-ce que c'est fait pour moi, déjà ? Oui.
- Est-ce que l'apprentissage et la transmission, c'est autre chose, l'accompagnement ? Oui.
- Vous vous en doutez de ça ? Un peu.
- Oui.
- Pour quelle raison ? De par votre légitimité ou de vos capacités et de ce que vous pouvez apporter aux gens ? Oui, je pense que je me mets à l'impression toute seule, sous cible perfection.
- Oui.
- Et puis, oui, le besoin d'être parfaite.
- De donner une guidance ou une séance excellente, quoi.
- Je mets un petit peu la pression.
- Est-ce que vous pensez qu'il faut, dans ce secteur-là et dans ce domaine-là, il faut être à tout prix parfait ? Alors, je comprends qu'il ne faut pas jouer avec l'individu et surtout dans la...
- Souvent, quand on vient à nous, c'est qu'on a une faiblesse.
- L'individu est dans une fragilité.
- Je crois qu'il faut, justement, faire preuve.
- D'empathie, de bienveillance, de bon accompagnement.
- Mais nous sommes tous des individus où, parfois, on peut commettre quelques petites erreurs d'interprétation.
- Donc, pourquoi vous, vous portez cette responsabilité à tout prix, que tout repose sur vous ? Vous ne pensez pas qu'aussi, il y a une part de responsabilité de chacun ? Exactement.
- On est bien dans un...
Transcription générée par IA