Retranscription des premières minutes :
- 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovalle.
- Ravis de vous retrouver pour cette fin de semaine et soyez les bienvenus dans c'est votre avenir.
- Alors le standard est ouvert aujourd'hui et c'est odd avec nous au standard 0826 300 300.
- Alors parfois le fait d'être submergé d'émotions, vous pouvez avoir du mal à prendre des décisions, un trop-plein aussi dans le travail ou une relation sentimentale qui ne se passe pas forcément très bien, un proche dans la famille qui cause soucis ou même un enfant qui traverse des difficultés et vous ne savez pas comment réagir, comment agir face à ce genre de situation.
- Et bien si vous êtes dans une de ces problématiques, n'hésitez pas, je peux vous aider, vous accompagner dans vos réflexions afin d'y voir plus clair.
- Pour démarrer cette émission, je vais accueillir Joël.
- Joël a vécu une relation avec une personne qu'il a longtemps dévalorisée et donc ça a été une relation toxique.
- Elle nous racontera son quotidien et de ce qu'elle souhaite savoir sur son futur sentimental.
- Tant qu'à Elisabeth, elle est en reconversion et souhaite devenir factrice.
- Elle nous dira pourquoi ce choix et va-t-elle y parvenir.
- On en parle dans quelques instants sans oublier vos appels que nous prendrons bien sûr en direct durant l'émission.
- Et comme tous les vendredis.
- Une tour d'horizon sur les lieux mystiques et étranges de France.
- Et aujourd'hui, direction les catacombes de Paris, un lieu assez effrayant.
- Vous souhaitez participer ? 0826 300 300.
- Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delovalle.
- Et j'ai le plaisir d'accueillir Joël. Bonjour Joël.
- Bonjour Alexandre.
- Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Joël.
- Merci à vous, je suis un peu émue.
- Oui.
- J'ai voulu faire cette démarre.
- Parce qu'en fait, suite à votre émission de vendredi dernier concernant le burn-out, je me suis complètement retrouvée.
- Ah, d'accord. Vous avez vécu un burn-out auparavant ? Récemment.
- Récemment.
- Ça y est, je reprends mes esprits.
- Vous reprenez vos esprits, bon.
- C'était au mois de février.
- En février de l'année d'avant, pas de ce mois-ci.
- Non, de cette année.
- De cette année.
- Ah oui, c'est tout récent.
- Et vous commencez déjà à reprendre votre esprit ? Parce qu'un burn-out, souvent, ça met du temps avant de se récupérer et de reprendre de l'énergie.
- Vous êtes forte ? Écoutez, j'ai senti venir.
- J'ai senti venir pour être concise, en fait.
- Je sentais que la relation ne me convenait pas.
- J'ai tenté de rompre à deux reprises.
- Et comme ça rejoint votre sujet d'aujourd'hui, vraiment réaliser et avoir ce qui était vraiment bon pour moi.
- Et je me disais que...
- Joël, juste pour les auditeurs, qu'on puisse recontextualiser les choses.
- Vous avez vécu une relation pendant sept ans.
- Oui.
- Avec quelqu'un qui vous a dévalorisé.
- Je crois qu'il partageait sa vie à l'étranger.
- Racontez-nous déjà comment vous vous êtes rencontrés.
- Et quel a été votre quotidien ensemble ? Et qu'est-ce que vous avez vécu avec cet homme ? Je l'ai rencontré.
- Je l'ai rencontré.
- Je l'ai rencontré sur un site, sans le nommer.
- Et nous avions quelques points communs, comme le fait d'avoir vécu dans un pays étranger à la même période.
- Et la relation s'est installée comme ça.
- Mais quotidien, non, il n'y avait pas de quotidien, puisque monsieur partait vivre la moitié de l'année à l'étranger, au soleil.
- Oui.
- Et de ce fait, nous ne voyons pas beaucoup l'été.
- L'été, lorsqu'il venait en France.
- Est-ce que vous l'avez soupçonné ? Enfin, est-ce que vous soupçonnez qu'il avait une double vie ? Je ne sais pas.
- Vous ne savez pas ? Je ne sais absolument pas.
- En tous les cas, j'étais invitée à me rendre dans les pays où il résidait l'hiver.
- Oui.
- Et là, il était question de se retrouver, de partir faire un voyage dans un autre.
- Dans un autre pays étranger.
- Déjà, il m'a imposé la venue de ses enfants avec sa famille, sans me demander mon avis.
- Et je sentais que ça n'allait pas très bien.
- De surcroît, au mois de novembre, j'ai subi une intervention.
- J'avais demandé de rester présent, près de moi.
- Il m'a dit non, non, il faut que je parte.
- Et en parallèle, je...
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