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Charles Bronson


Charles Bronson - C'était, il y a...

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « Ça vous rappelle peut-être quelques souvenirs hollywoodiens. On va vous parler d'un acteur mythique d'Hollywood aujourd'hui qui est né il y a 103 ans, jour pour jour, Charles Bronson.
- On parle de sa carrière avec Jacques Pessis, la mémoire de Sud Radio. Bonjour Jacques. » « Bonjour Jean-Marie. » « Sacrée légende d'Hollywood. » « Ah oui, oui, La Grande Évasion, c'est un film que toute une génération a vu avec Bronson et Steve McQueen.
- Et Bronson, il y a une particularité, c'est que sa gueule est reconnaissable entre mille. Ça, on ne peut pas le louper. » « C'est vrai. Une trogne, on peut le dire comme ça. » « Oui, et puis c'est le genre de type qu'on n'a pas envie de contrarier, sous peine d'en prendre une et très vite, je crois.
- Alors, son vrai nom, c'est Charles Denis Buchinski. Il est d'origine lituanienne par ses parents, son père et sa mère.
- Et il a un jour expliqué à Charles Bronson qu'il avait du côté de son père des ancêtres tatars, ce qui explique sa ressemblance avec les Amérindiens.
- Par des origines mongoles. » « Ça, c'est étonnant. Ça explique peut-être son visage, effectivement. » « Alors, ses débuts, d'abord, il n'a pas commencé par le cinéma, Charles Bronson.
- Il a été mineur de fond. Il a été mitrailleur de queue d'un bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Et ensuite, après la guerre, il a travaillé dans les casinos d'Atlantic City.
- Et c'est là qu'il a commencé à contrôler des acteurs qui lui ont dit « Mais avec ta gueule que tu as, tu devrais essayer de faire du cinéma. » Et c'est comme ça qu'il est parti à Hollywood et qu'il a commencé à décrocher quelques figurations.
- Dans des films.
- Et il a choisi son pseudonyme Bronson, tout simplement parce que le nom d'un portail des studios Paramount, c'est Bronson Gett.
- « Sans blague. C'est vraiment le hasard, quoi. » Alors, il se trouve qu'un jour, il fait la connaissance du réalisateur John Sturges, très célèbre.
- Et Sturges le remarque immédiatement.
- Et sept ans plus tard, il va se souvenir de lui quand il va réaliser un film culte, « Les Sept Mercenaires ».
- On s'y croirait tout de suite, hein ? Ce film, on l'a tous vu et revu dix mille fois.
- Alors, dans « Les Sept Mercenaires », pour celles et ceux qui, par hasard, ne l'auraient pas vu, il faut savoir qu'il est Bernardo Orelli, un bûcheron irlando-mexicain, qui est engagé par Chris Adams, Yul Brunner, pour aider les habitants d'un petit village du Mexique agressés par des troupes mexicaines.
- Alors, c'est le point de départ, ce film, d'une dizaine de rôles dont, à l'origine, il ne voulait pas entendre parler.
- Exemple, « Les Douze Salopards ».
- Qu'on connaît bien.
- Eh bien, il a refusé le rôle au départ.
- Pourquoi ? Parce que le personnage ne lui convenait pas.
- Il pensait qu'il ne pouvait pas le jouer.
- Et finalement, le...

Transcription générée par IA

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