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Par avec Solenn Gubri

"Dans les rôles de leadership, il faut faire confiance aux gens qui nous entourent" - Solenn Gubri


Dans Destins de femmes, Judith Beller reçoit Solenn Gubri, directrice générale adjointe marketing et communication chez Evok Hotels Collection
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio, Destin de Femmes, Judith Belair.
- Bienvenue à toutes et à tous, c'est Destin de Femmes sur Sud Radio, votre rendez-vous du samedi à 13h30, inspiré du livre au même titre de Valérie Pérez.
- Nous sommes ici pour raconter un féminisme qui nous lie tous, qui ne nous clive pas.
- Le féminisme autrement, c'est possible.
- Vous allez découvrir aujourd'hui le destin de Solène Gubry, directrice générale adjointe à la communication et au marketing du groupe Évoque Collection, qui, à part le fait qu'elle appartient à un groupe visionnaire, s'engage au quotidien pour l'excellence à chaque étape de son parcours, où elle a su allier créativité et stratégie.
- Solène Gubry, quand on parle savoir allier ses compétences à une vision, on peut s'appuyer sur votre exemple ? Vous allez nous raconter tout ça sur Sud Radio, bienvenue.
- Alors, chère Solène Gubry, pour commencer, les questions usuelles de ce début d'émission que je pose à toutes les femmes qui passeront par ce...
- Quel est votre définition du féminisme, Solène Gubry ? Pour moi, le féminisme, c'est la liberté de pouvoir tout faire.
- La liberté d'être soi, de vivre selon nos envies, notre ambition, y compris en jouant de notre féminité, si on le souhaite, de tous ses codes les plus coquets, sans nier notre féminité.
- Ces éléments de coquetterie, c'est mon armure, c'est ce qui me donne une colonne vertébrale pour aller dans l'action, pour affronter le monde.
- Donc, ce n'est pas que de la coquetterie, ça fait partie de mon armure.
- Donc, votre définition du féminisme, c'est être libre, mais du coup, être aussi libre de s'habiller et de se maquiller comme on veut, sans être jugée par l'autre.
- Le regard extérieur, ou des hommes ou des femmes, d'ailleurs.
- Oui, et des hommes et des femmes.
- Et peut-être surtout des femmes.
- Parce que vous trouvez qu'elles jugent ? Oui, elles jugent.
- D'accord.
- Donc, sororité, ce n'est pas un mot qui vous parle plus que ça ? Ah si, c'est très important, mais on peut choisir ses sœurs.
- Oui, ça c'est sûr.
- On peut choisir ses sœurs.
- Et puis, au-delà de ça, c'est aussi de vivre en harmonie avec les hommes.
- Bien sûr.
- Et pas contre les hommes, mais avec les hommes.
- Tout à fait.
- Et pardon, je dis...
- Je vous en prie.
- Et quand les conditions ne permettent pas de vivre cette liberté, c'est de se battre pour qu'elle existe.
- D'accord.
- Donc, vous pensez notamment, on imagine, à nos sœurs iraniennes ou à nos sœurs afghanes ? Oui.
- Ou de reprendre nos compagnons de route quand ils dérapent.
- D'accord.
- Par exemple ? Par exemple, je sais que j'ai parlé assez vivement à un banquier qui ne voulait pas me donner un papier parce que je n'avais pas le même nom que mon mari.
- D'accord.
- J'ai rappelé que je contribuais à remplir ce compte en banque et que donc, quand bien même je n'avais pas le bon papier d'identité, j'espérais être respectée.
- C'est fou que ça arrive encore, ça,...

Transcription générée par IA

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