"Etre femme c’est avoir le droit et le choix sur absolument tout !"

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Simplicar, la vente de votre auto servie sur un plateau, avec plus de 90 concessions près de chez vous.
- Simplicar.fr présente Sud Radio, Destin de Femmes, Judith Belair Bienvenue à toutes et à tous dans Destin de Femmes sur Sud Radio, votre rendez-vous du samedi à 13h30 inspiré du livre au même titre de Valérie Pérez.
- Il s'agit ici, vous le savez, de raconter un féminisme qui nous lie tout, celui de nous cliver.
- Le féminisme doit être autrement.
- Vous êtes beaucoup à réagir et à partager cette création de nouveaux courants, on peut le dire.
- Ça fait plaisir.
- Aujourd'hui, vous êtes avec Amel Kefif, qui est directrice générale de l'association Elle Bouge et qui fait découvrir, notamment aux collégiennes, lycéennes, étudiantes, les métiers en manquant de talent féminin.
- C'est dans les secteurs industriels, technologiques ou scientifiques.
- Amel Kefif, vous êtes aussi membre du Women's Forum for the Economy and Society et puis membre consultatif du CPA, le Conseil Présidentiel pour l'Afrique, autant dire que vous tracez votre route avec conviction.
- Bienvenue sur Sud Radio.
- Bonjour Judith, merci.
- Sud Radio, Destin de Femmes, Judith Bélair.
- Alors, les 4-5 questions que je pose à toutes les invitées de Destin de Femmes.
- On va commencer par la première, Amel Kefif.
- Votre définition à vous du féminisme ? Ma définition du féminisme, c'est une définition qui englobe les droits égaux pour les femmes et les hommes.
- La définition simple, qu'un homme vaut une femme.
- Oui.
- Une femme vaut un homme, comme l'a voulu Olympe de Gouges lorsqu'elle a réécrit les droits de la femme à l'écriture des droits de l'homme.
- Bien sûr.
- Et c'est votre féminisme à vous aussi, c'est-à-dire que vous vous reconnaissez dans cette volonté d'égalité totale ? Son discussion, en fait, que le genre ne soit plus un sujet, c'est ça ? Le genre ne devrait pas être un sujet dans les milieux économiques, sociaux.
- Il l'est pour des questions biologiques, évidemment, pour des questions de pensée.
- Pour des métiers plus durs, peut-être, aussi ? Non plus, non.
- Parce qu'aujourd'hui, on est en 2024.
- Donc, c'est ce qu'on combat.
- Aujourd'hui, et c'est ce qu'on montre avec l'association Elle Bouge, que les métiers peuvent être tous pratiqués par des femmes, quels qu'ils soient.
- Et pour d'autres métiers, quels qu'ils soient, pour des hommes, parce qu'il y a encore quelques temps, certains métiers ou sports étaient interdits aux hommes, comme le partenariat artistique, par exemple, était interdit aux hommes.
- Oui, c'est vrai.
- Donc, c'est plutôt un combat de pouvoir montrer, informer, parce qu'il y a évidemment, malheureusement, beaucoup de désinformation ou pas d'information du tout qui arrive dans les yeux.
- Des femmes et des hommes.
- Et du coup, les hommes, ils peuvent être féministes, selon vous ? Ah oui, absolument, bien au contraire.
- Vous avez des exemples autour de vous ? D'hommes féministes, on appelle nos relais, par exemple, au sein de l'association Elle Bouge.
- Je vous en parlerai, mais évidemment, on a des marraines.
- Elle Bouge, c'est une association...

Transcription générée par IA