Retranscription des premières minutes du podcast :
- Simplicicar, la vente de votre auto servie sur un plateau avec plus de 90 concessions près de chez vous.
- Simplicicar.com vous présente Sud Radio, Destin de Femmes, Judith Belair Bonjour les copines, bonjour les copains, heureuse de vous retrouver pour Destin de Femmes, l'émission du féminisme autrement inspiré du livre au même titre de Valérie Pérez.
- Catherine Testa est une entrepreneur engagée, fondatrice du site l'optimisme.com qui promet une approche positive, mobilisatrice des enjeux de société, de bien-être en entreprise.
- Catherine, vous êtes auteure de plusieurs livres, best-seller, vous avez été très très vendue.
- Et votre tout dernier, TDAH et alors, est sorti chez Michel Laffont.
- Vous sensibilisez également autour du trouble, du déficit de l'attention, ce fameux TDAH syndrome que vous connaissez, pour lequel vous donnez des outils permettant de vivre avec.
- Bienvenue sur Sud Radio.
- Merci pour l'accueil.
- Avec plaisir.
- Sud Radio, Destin de Femmes, Judith Belair.
- Alors Catherine Testa, les questions usuelles de cette seconde saison de Destin de Femmes, la première.
- Quelle est votre définition du féminisme ? L'autorisation à prendre sa place.
- Ok, mais encore.
- Comment vous vous êtes sentie autorisée ? Oh, après beaucoup beaucoup de temps, à partir du moment où je me suis dit, je suis peut-être un peu différente.
- Et j'assume cette différence, j'assume cette envie de contribuer à ma société.
- Sans qu'on m'en empêche.
- D'accord.
- Et la différence étant finalement une force.
- C'est un peu ça que vous dites.
- Étant un atout.
- Un atout, oui, c'est ça.
- Est-ce que les hommes, ils peuvent être féministes, selon vous ? Oh, excellente question.
- Je ne sais pas si je pourrais me prononcer à leur place.
- Je pense qu'il y en a qui se rendent compte qu'on a besoin des deux pour faire société.
- On a besoin des femmes et des hommes.
- Je pense qu'il y en a qui respectent en fait la place de l'autre.
- Et j'estime qu'en tout cas, dans mon entourage, il y a des hommes qui sont parfois pratiqués.
- Je pense qu'il y en a un peu plus féministes que moi.
- D'accord.
- J'ai l'impression, oui.
- Alors, vous avez un exemple concret à nous donner ? Ah, des cotins qui, par exemple, ont pris le nom de leur femme.
- Vous voyez, en deuxième nom de famille.
- Alors moi, je me disais, c'est curieux de le faire.
- Mais en fait, pour eux, c'était marqué leur engagement aussi pour les femmes.
- Est-ce que c'est une hypocrisie ? Est-ce que ce n'est pas une hypocrisie ? Je ne sais pas.
- Mais en fait, ils essaient d'agir.
- Le fait de le faire et d'être en action, l'action nous sort de l'hypocrisie en question.
- C'est ce que je me dis.
- Qu'est-ce qui empêche le droit des femmes d'avancer, selon vous ? Peut-être cette fameuse notion d'autorisation.
- Je trouve que beaucoup de femmes ne s'autorisent pas à, en fait.
- Par peur, par peur des clichés, par peur, effectivement, du jugement, par méconnaissance.
- On parlait de féminisme au démarrage.
- Moi, au démarrage, j'étais persuadée de...
Transcription générée par IA