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Le nom d'Emmanuel Macron hué lors du discours de Michel Barnier à la cérémonie d’hommage du 7 octobre


Le nom d'Emmanuel Macron hué lors du discours de Michel Barnier à la cérémonie d’hommage du 7 octobre : Débat avec Elisabeth Lévy et Françoise Degois

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Le nom d'Emmanuel Macron, Benjamin, a été hué hier soir lors de l'hommage aux victimes du 7 octobre.
- Oui, exactement. Cérémonie organisée par le CRIF, le Conseil représentatif des institutions juives de France, le Président de la République.
- Il n'était pas présent, mais son nom a été cité par qui ? Par le Premier ministre Michel Barnier dans son discours à la tribune.
- Je veux aussi témoigner, comme je l'ai fait tout à l'heure en recevant leur famille, mon soutien personnel et l'engagement, qui est aussi celui du Président de la République, à tout mettre en œuvre pour les faire libérer.
- La France n'abandonne jamais ses enfants.
- Le nom du Président, vous l'avez entendu, hué une première fois, puis une seconde à la fin du discours.
- Vous pouvez compter sur le Président de la République, sur le Premier ministre, sur...
- Vous pouvez compter sur le Président de la République, sur le Premier ministre, sur tous les membres du gouvernement.
- Des huées, des sifflets et pas seulement.
- Des applaudissements ensuite. Alors on ne sait pas si c'est pour les ministres ou pas, puisqu'il parlait de ses ministres.
- Ajoutons quand même que...
- Peut-être pour Barnier.
- Peut-être. En tout cas, selon l'AFP, c'est allé plus loin.
- Certaines personnes ont également crié des armes.
- Réponse directe au Président de la République, qui, souvenez-vous, avait appelé ce week-end à ne plus livrer d'armes à Israël pour mener ses combats à Gaza.
- Je pense qu'aujourd'hui, la priorité, c'est qu'on revienne à une solution politique, qu'on cesse de livrer les armes pour mener les combats sur Gaza.
- La France n'en livre pas. Et maintenant, notre priorité est aussi d'éviter l'escalade.
- Je considère qu'au-delà de ça, le peuple libanais ne peut pas, à son tour, être sacrifié.
- Et le Liban ne peut pas devenir un nouveau Gaza.
- Propos tenus sur France Inter.
- Des propos qui ne sont visiblement pas passés au...
- Des questions.
- ...passées auprès d'une partie de la communauté juive de France.
- Bien ! Alors, vous étiez hier soir...
- Ah non, là, je dois dire, déjà, je trouvais que c'était une journée très triste.
- Oui, oui.
- Moi non plus, on n'avait pas envie d'aller là-bas.
- Je dois vous dire, d'abord, je n'aime pas les sifflets, je n'aime pas les huées.
- Pour moi, c'est le signal faible de la barbarie.
- Je n'aime pas qu'on eue le Président de la République, malgré tout, le mal, que je pense, de sa position, enfin, de sa position du lundi...
- De son intervention.
- De sa position du lundi, parce que la position du mardi...
- De son intervention du mardi, souvent, eh bien...
- Non, mais ce qui était extraordinaire, c'est que ce qu'il a dit le samedi, ça a été enregistré le lundi, d'avant.
- Donc, quelle faiblesse de l'Élysée ! Non, mais on devient dingue. Je pense que sa position là-dessus ne va pas du tout.
- On en a parlé hier, je sais qu'on a un désaccord sur la raison.
- Maintenant, il faut...

Transcription générée par IA

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