Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Il est quelle heure ? 8h26, pressons-nous ! On s'en sort tard, Benjamin.
- Alors Benjamin, on en parle d'Emmanuel Macron, qui déclare qu'il va se battre.
- Il va se battre pourquoi ? Et bien pour que la série à succès, Millie in Paris, reste à Paris.
- Oui, parce que cette série, bien connue sur Netflix, série américaine, la prochaine saison sera tournée à Rome.
- Alors Emmanuel Macron a réagi dans un média américain variété.
- On lui a demandé ce qu'il en pensait de ça.
- Écoutez le président.
- Nous allons nous battre ardemment.
- Voilà ce qu'il dit pour que la série continue d'être à Paris.
- Et donc, exactement, Millie in Paris à Rome, ça n'a aucun sens.
- Le président, le chef de l'État, la connaît bien cette série, puisque sa femme, Brigitte Macron, y a joué une petite scène.
- Bonjour, Mme Macron. T'es d'accord.
- Je suis Emily Cooper. Millie, c'est vous ? Je la suis sur Instagram. Oui, oui. Oh, yes. J'adore your country.
- Voilà pour le petit passage Brigitte Macron dans cette série.
- Le président de la République, qui, dans cette interview, dans ce média américain, dit ce qu'il en pense du jeu d'acteur de Brigitte Macron.
- Il dit qu'il a été très fier, et puis que c'est une bonne chose pour l'image de la France, que Millie in Paris soit tournée en France, à Paris.
- Et puis, voilà, c'est un atout pour le pays.
- Quant à savoir si le président aurait accepté ou non de jouer dedans, écoutez.
- They tried to get you. I am less attractive than Brigitte.
- Il dit qu'il est moins séduisant que Brigitte.
- Bon, on ne sait pas s'il aurait accepté ou pas de jouer dedans, au final.
- Bien. Qu'est-ce que vous en pensez ? Moi, j'aime heureux homme qu'Emmanuel Macron, qui se préoccupe véritablement du départ, de la délocalisation d'Emily in Paris à Rome.
- D'abord, c'est une faute de goût, parce que ça va être magnifique.
- À Rome, passer une vie magnifique.
- Et par ailleurs, il n'a que ça, si vous voulez.
- Vous imaginez, il n'a que ça. Il ne doit s'occuper que de ça.
- Ça serait bien qu'il s'occupe de la façon dont il parle du Proche-Orient.
- Ça serait bien qu'il s'occupe de la façon dont ce gouvernement...
- Oui, mais il peut aussi avoir un dérivatif.
- Moi, je trouve que c'est un hommage...
- C'est ça qui met en avant...
- Pardon. C'est d'abord...
- Moi, j'ai regardé 10 minutes. C'est qui de chissime ? C'est qui de chissime et ennuyeux ? J'ai un ami de causeur qui m'a envoyé cette blague hier.
- Il m'a dit qu'on aurait dû rebaptiser Alstom Énergie « Micheline in Belfort ».
- Et il se serait peut-être battu pour que la société ne soit pas vendue.
- C'est très bien. Vous avez dit qu'on redescend toujours sur le planche des vagues.
- Je vais le citer. C'est Jean-Baptiste Roch, qui est aussi rédacteur en chef de causeur.
- Très bonne. Très bonne remarque.
- Comme...
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