Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Bien, avec vous Benjamin Gleize, nous parlons de quoi ? De l'exploit du Paris Saint-Germain, tiens.
- Elisabeth va être ravie de parler de ça.
- Si je peux me permettre, j'ai choisi ce sujet pour vous Elisabeth.
- Ah merci Benjamin.
- Ben voilà, c'est cadeau.
- Alors l'exploit.
- Les Parisiens sont qualifiés pour les quarts de finale de la Ligue des Champions.
- Oui, après leur victoire sur la pelouse de Liverpool, qualification au bout du suspense à l'issue de la séance de tir au but.
- Et on va écouter, il y en a un à mon avis, il n'a plus trop de voix ce matin.
- J'ai fait ! J'ai fait ! Le Paris Saint-Germain élimine Liverpool de la Ligue des Champions et réalise un exploit immense en réussissant à sortir les réactions.
- Et le héros du match, c'est le gardien parisien, l'italien Donnarumma sur les trois pénaltys tirés par les Anglais.
- Il en a réellement.
- Il était deux, forcément, Donnarumma élu, homme du match, MVP comme on dit.
- Et il a été ovationné dans les vestiaires par ses coéquipiers.
- MVP ! MVP ! MVP ! MVP ! MVP ! MVP ! Merci Paris, merci ! C'est pour vous ! C'est pour vous ! Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! Ben oui, là je vois des joueurs parisiens et la fierté, la fierté du président du Paris Saint-Germain, Nasser El-Ralafi.
- C'est une soirée magnifique pour nous, pour le club, pour l'histoire. Je parlais avec les joueurs, j'ai dit si vous voulez vous créer l'histoire, c'est maintenant.
- Dieu lui a donné l'opportunité aujourd'hui pour créer la vraie histoire.
- Vraiment, on a les joueurs montrés, on a un grand caractère aujourd'hui.
- Un grand joueur.
- Grand caractère, grand joueur.
- Quart de finale pour Paris, ce sera soit face à Aston Villa, soit face au FC Bruges.
- Les deux clubs qui s'affrontent ce soir, avantage aux Anglais, qui sont à poser 3-1 à l'aller.
- Et puis on souhaite bonne chance aux Lillois.
- Match nul à l'aller.
- Face à Dortmund, un partout.
- Match retour, 18h45, à domicile pour le LOSC.
- Pour le LOSC, face à Dortmund.
- Et puis il y a PSGOM, dimanche.
- Au cinéma, d'ailleurs.
- Oui, ça sera diffusé pour la première fois dans les salles de cinéma, certaines à Paris et Marseille.
- Ah bon ? Oui.
- Mais ça, je viens d'apprendre quelque chose.
- Mais ça passe où ? Vous allez y aller ? PSGOM au cinéma.
- J'ai une tendresse quand même pour Marseille.
- Donc je découvre que nous avons gagné.
- Alors que tout le monde...
- Non, mais ce qui est marrant, c'est que quand tout le monde dit c'est foutu...
- Vous avez regardé le match, Elisabeth ? Bien sûr, j'étais en train de trimer pour vous et pour les auditeurs, cher Jean-Jacques.
- Vous pensez bien, j'aurais aimé.
- Je me sacrifie.
- Non, ce qui est marrant, c'est qu'en fait, ce qu'on aime bien, c'est voir des gens revenir des enfers.
- Puisque, comme ils avaient perdu à l'aller, vous voyez que je suis très informé.
- Mais c'est incroyable.
- Mais l'autre chose, et ça, ça m'intéresse de savoir, c'est que Paris n'a pas tellement un lien.
- Et qu'ils sont au club.
- Je veux dire, les Parisiens, il y a beaucoup de Parisiens qui détestent le PSG.
- Alors, je ne sais pas, Jean-François, dites-moi s'il faut aimer le PSG.
- C'est un club qui soit est adoré, soit pas très aimé.
- Déjà, moi, je vais être un peu rabat-joie ce matin.
- Parce que j'avoue que j'ai suivi plutôt les exploits d'autres joueurs que ceux du PSG.
- Je citerai Marco Rubio, Mike Walsh ou André Yermak, qui sont les négociateurs qui étaient présents.
- Marco Rubio, il a un très bon jeu de jambe.
- Je vous avoue que ma part de cerveau, ma bande passante, est concentrée sur le conflit ukrainien.
- Et je vous avoue que j'ai zappé le match d'hier soir.
- Mais c'est vrai que dans l'imaginaire collectif, je pense que le PSG est une sorte d'équipe de France bis.
- Et que ça dépasse largement le cadre de Paris.
- J'aurais dit le contraire.
- C'est considéré comme le club du Qatar, du Friche.
- C'est une équipe, quelque part,...
Transcription générée par IA