Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio In Vino, 13h-13h30, Alain Marty.
- Bonjour à toutes et à tous, ravi de vous retrouver à bord de In Vino Sud Radio.
- Vous savez, c'est la seule émission de radio au monde en français, 100% consacrée aux vins zéospiritueux.
- Je rappelle que vous pouvez nous écouter depuis les boutiques Nicolas, notamment celles qui se situent à Paris, aux 95 rue du Faubourg Saint-Antoine, sur 99.9.
- N'hésitez pas non plus à réagir sur le compte Insta In Vino Sud Radio pour partager vos vins coup de cœur.
- Alors aujourd'hui, un menu qui prêche comme d'habitude, la consommation modérée et responsable, avec tout à l'heure un garçon formidable, Christophe Deldy, qui est propriétaire du domaine Deleuze-Rochetins, dans la vallée du Rhône, juste à côté du Zest, c'est un coin de paradis.
- Et le Vino Quiz pour gagner un coffret gourmand du château d'Avichard à Bordeaux.
- Et un autre coffret du domaine Roman Schultz en Alsace, ainsi qu'une cave à vin de 18 bouteilles signées La Sommelière.
- À mes côtés pour nous accompagner, comme hier, Hélène Piau, heure journaliste au magazine Régal.
- Bonjour Hélène.
- Bonjour Alain, bonjour à tous.
- Et David Cobol, le cofondateur de l'Académie des Vins Espiritueux. Bonjour David.
- Bonjour à tout le monde.
- Pour bien commencer cette émission dominicale, une vidéo sur la radio a le plaisir d'accueillir Orance de Belair.
- Bonjour Orance.
- Bonjour à tous.
- Alors vous faisiez quoi à Paris avant 2004 ? Je travaillais en tant que commercial à la Revue du Vin de France.
- D'accord. Et puis un jour, il y a un changement de vie, vous atterrissez à Vendôme-Adenais, il y avait un direct ? En fait, j'étais à la Revue du Vin de France, non pas pour la presse ou le journalisme, mais plutôt pour le vin.
- Donc après trois ans de riches expériences à la Revue du Vin de France, il fallait rebondir et donner un sens plus vivant à ma jeune carrière qui démarrait.
- Oui, oui. Hélène, c'est une belle histoire.
- C'est une jolie histoire, une histoire à deux, on peut dire, avec Victorine, votre épouse.
- Et puis, donc, vous démarrez, enfin Victorine vous en rejoint un peu plus tard, vous vous démarrez, voilà, vous dites bon allez, maintenant ça suffit la Revue du Vin de France, ça suffit de vendre du vin, je vais en faire.
- Et puis, comme vous n'avez pas de raisin, vous commencez par en acheter.
- Mais Hélène, je croyais que la Revue du Vin de France vendait du papier, pas du vin.
- Mais justement, oui, mais en tant que commercial, j'imagine qu'Auron avait les mains un peu dedans aussi.
- Oui, c'était ça, tout l'intérêt de cette expérience, c'était qu'on était en contact, moi je m'occupais de la Bourgogne, de la Champagne et de la Loire, des domaines qui me faisaient rêver, et je pouvais comme ça rencontrer, je ne sais pas, Nicolas Joly ou Aubert de Villene, tous les grands.
- Alors, revenons à vous Hélène.
- Donc, revenons surtout à Auron, ce qui fait...
Transcription générée par IA