In Vino du 20 octobre

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio In Vino, 13h-13h30, Alain Marty.
- Bonjour à toutes et à tous, ravi de retrouver tous les passionnés du vin qui écoutent In Vino depuis la création de l'émission.
- C'était en 2004, 20 ans, ce week-end spécial pour justement célébrer les 20 ans de In Vino Sud Radio.
- Nous étions jeudi dernier en direct des Vinissimes de Nicolas à Paris pour cette émission anniversaire.
- Et on salue, on embrasse très fort tous nos auditeurs, notamment ceux qui nous écoutent dans la capitale, sur 99.9.
- Aujourd'hui, un menu festif qui fraîche comme d'habitude, la consommation modérée et responsable avec tout à l'heure un garçon génial, comme tous les gens qui passent dans l'émission, d'ailleurs, Guillaume Gomez, qui est ambassadeur pour la gastronomie et représentant personnel du président de la République pour l'alimentation et la gastronomie à mes côtés pour nous accompagner.
- Hélène Piau, journaliste au magazine Régal. Bonjour Hélène.
- Bonjour Alain, bonjour à tous.
- David Cobol, qui est là depuis 20 ans aussi. David, pour le plus grand bonheur, toujours le cofondateur de l'Académie des Vins Espiritueux.
- Bonjour Alain et à tout le monde.
- Et également Philippe Horbach.
- Mon meilleur sommelier du monde et également fidèle depuis 30 ans au micro d'une vidéo sur le radio, Philippe.
- Absolument, depuis 20 ans.
- Eh oui, alors on continue d'évoquer, comme hier, un premier numéro spécial, ce qui a changé en 20 ans dans la vie du vin.
- Et on commence par le réchauffement climatique. Comment, Hélène Piau, cette réalité a affecté le monde du vin ? Elle l'affecte énormément puisque c'est d'abord une agriculture, le vin.
- Donc, ben...
- Alors, plutôt...
- En tant que de réchauffement, il faut évidemment parler de dérèglement, d'évolution, et comme toutes les évolutions, il y a des côtés positifs, des côtés négatifs.
- On va les aborder.
- Il y a des gens qui souffrent énormément de ce dérèglement.
- Et puis, il y a cette magnifique découverte que la vigne peut s'adapter sur des terroirs où on ne l'attendait pas.
- Donc, il y a de l'espoir, mais dans les médias, il y a beaucoup de souffrance aussi.
- Philippe Horbach, quand on voit notamment le vin, il y a de l'espoir, mais dans les médias, il y a beaucoup de souffrance aussi.
- Quand on voit notamment le sud de la France, les vignobles du Roussillon, par exemple, où là, il n'y a pas plu depuis trois siècles, il y a des tout petits raisins, des petits rendements, c'est mal valorisé.
- Tout ça, ce n'était pas comme ça il y a 20 ans, quand même.
- Non, on avait l'impression que les choses étaient acquises et qu'elles restaient stables.
- Et finalement, le monde bouge.
- Mais quand on regarde un peu, les 20 ans, on va les étudier, mais même sur le long terme, sur le très long terme, il y a eu des périodes glaciaires, des périodes de sécheresse, etc.
- Il y a toujours eu des mouvements.
- Ce que l'on vit aujourd'hui, c'est plus en accéléré.
- Donc, on est très perdus.
-...

Transcription générée par IA