Retranscription des premières minutes du podcast :
- Bon.
- Sud Radio, la culture dans tous ses états.
- André Bercoff, Céline Alonso.
- Monsieur, vous êtes sur une propriété privée ici.
- On est entre peintres, allons.
- C'est plus compliqué.
- Je ne me suis pas présenté.
- Jean-Yves Machon.
- Je sais, je vous ai reconnu.
- Très beau travail, mais je te prendrais bien les deux petites chattes.
- Ce sont les rissons.
- On appelle ça comme tu veux, si ça t'excite.
- J'ai l'impression même si ça peut vous paraître prématuré, mais vous et moi, c'est comme un coup de foudre.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Qu'est-ce qu'il y a ? Mais ça va.
- Mais non, ça ne va pas.
- Si.
- Et oui, bande-annonce du film L'art d'être heureux André Bercoff.
- Une comédie de Stéphane Liberski qui sort au cinéma mercredi prochain et dans laquelle Benoît Poulvord joue le rôle d'un peintre profondément malheureux qui est vraiment en quête d'une reconnaissance éternelle, André.
- Oui, oui, oui, mais il a la chemise de Bernard Buffet.
- Oui.
- Et oui.
- Et le chevalet, André, oui, et le chevalet.
- Et le chevalet et tout ça.
- Non, mais moi, je voudrais rappeler d'abord que Benoît Poulvord, d'abord, vous voyez pourquoi on l'aime dans notre HLM ? On l'aime parce qu'à chacun de ses films, il apporte quelque chose.
- Il apporte quelque chose de différent, c'est vrai.
- Et puis, et puis, il aime la vie, il aime la boisson, il aime l'amour, il aime tout ça.
- Il aime les frites.
- S'il était belge sans aimer les frites, ce ne serait plus un belge.
- Ce serait un pire.
- C'est une bêtise.
- Enfin, voilà.
- Non, mais je voudrais, Benoît Poulvord, vous êtes actuellement à l'affiche de deux films.
- L'un, celui-là qui va sortir donc mercredi, L'art d'être heureux.
- Et l'autre, L'amour ouf, le film de Gilles Lelouch.
- Et je vous dis, je suis allé voir le film de Gilles Lelouch.
- J'ai vu l'autre, bien sûr, l'autre film qu'on aime beaucoup.
- Et vous savez les choses, vous jouez à un mafieux, à un chef de...
- Ah oui, un espèce de parrain comme ça.
- Enfin oui, un vilain, un voyou.
- Alors, je vais vous dire, ce qui m'a frappé, j'ai dit, tiens, Lelouch, il a dû penser, pendant une minute, on ne vous voit pas.
- C'est-à-dire, on vous voit, vous êtes en gros plan, on voit votre tête, mais dans le noir.
- Le noir pratiquement complet.
- Il faut savoir, je dis, ah oui, mais c'est Benoît Poulvord, mais vraiment, on ne voit pas.
- Et en fait, je suis persuadé qu'il a pensé au film culte Apocalypse Now de Coppola avec Marlon Brando.
- Où on voit Marlon Brando dans le noir, et au bout de cinq minutes, on voit que c'est Marlon Brando.
- Il vous a fait le coup de Marlon Brando, Benoît.
- Attention, le coup de Marlon Brando.
- Je dis d'abord bonjour à tous les auditeurs, parce que je voudrais vous remercier de m'avoir reçu.
- Parce que, vraiment, j'aime beaucoup venir chez vous, parce qu'on s'amuse, et on peut parler librement.
- Et,...
Transcription générée par IA