Retranscription des premières minutes du podcast :
- A moins de deux heures de Paris, la Hongrie, plus on l'explore, plus on l'aime, présente Sud Radio, le monde à découvrir, Christophe Gickel Ah, chers amis de Sud Radio, la Hongrie, c'est bien simple, ce pays, 5 fois plus petit que la France, à deux heures de vol de Paris, nous semble étrangement familier.
- D'abord parce que Budapest, sa sublime capitale, est elle aussi, comme beaucoup de nos villes, traversée par un fleuve.
- Et que sa capitale suscite toujours l'émoi par un enchantement architectural conjuguant baroque, art nouveau et néoclassicisme.
- Mais aussi parce que la Hongrie, en dehors de Budapest, est parsemée de villes d'eau, de cités médiévales, de bourgades champêtres, de lacs, de forêts, de châteaux cachés, qui la rythment d'un certain art de douceur de vivre dans une diversité de paysages remarquables.
- Oui, voilà ce qui vous séduira, chers visiteurs, c'est ça, c'est la diversité étonnante de cet étonnant pays.
- Celle qui a modelé son âme, par les rebondissements de son histoire ottomane et européenne, par sa culture et son art de vivre, et qui fonde la Hongrie aujourd'hui, cette sorte de surprenant Rubik's Cube, qu'elle a d'ailleurs, souvenez-vous, inventé, c'est pas un hasard.
- Et d'ailleurs, j'ai jamais réussi à assembler plus de deux faces, et je vous dis ça au passage, ça m'énerve encore.
- Bref, ce pays est donc un kaléidoscope d'émotions et de sensations, une concentration d'expériences inattendues, à découvrir des Carpathes aux rives du lac Balafon, en passant par la visite de ses vignobles, ou en goûtant un poulet aux paprikas avant de plonger dans ses bains d'eau thermale légendaires.
- Oui, mes amis, en écoutant cette émission avec nos invités, vous comprendrez d'ailleurs pourquoi et comment les truffes, la lavande, le vin, le foie gras et la gastronomie hongroise sont autant de délicieuses signatures, et pourquoi, tiens, ce pays nous est si familier, et surtout, en plus, comment il va vous étonner.
- Sud Radio, le monde à découvrir, Christophe Gickel.
- C'est Balaton, pas Balafon.
- Balafon, c'est...
- La campanella, la clochette en italien, c'est une célèbre pièce pour ouvrir cette émission en piano, en sol dièse mineure.
- C'est la troisième étude de la série de Franz Liszt, rappelons-le, qui est décédée en 1886 à l'âge de 77 ans, et qui était hongrois.
- Vous me le faisiez remarquer, on vous a entendu, Karine Malégautier, car les micros étaient ouverts, mais c'est ça la magie de Sud Radio, c'est spontané, c'est naturel.
- Donc, Karine Malégautier, directrice, représentatrice...
- ...de la présentation Visite Hungary France, qui déjà me houspillait en me disant, c'est Balaton, et non pas Balafon.
- Lac Balaton, et non pas Balafon.
- Et j'ai dit Balafon ? Oui.
- Mais quelle honte.
- Alors que j'ai marqué Balafon, hein.
- Non, j'ai marqué Balaton.
- Balaton.
- On va en parler de ce magnifique lac Balaton.
- Christina est avec nous, Koji.
- Koji.
- Koji, vous êtes Business Development Manager de Visite Hungary Budapest.
- En français, vous êtes la responsable de l'Office du Tourisme.
- Oui, la responsable de la présentation.
- En France.
-...
Transcription générée par IA