Retranscription des premières minutes du podcast :
- Et ce matin, on va du côté du Mans retrouver un pâtissier sourcier de vanille. Bonjour, Paul Galland.
- Bonjour. Merci d'être avec nous ce matin en direct.
- Merci à vous. Merci infiniment. Vous êtes donc pâtissier. Vous n'avez, je me permets de dire votre âge, mon cher Paul, 24 ans. C'est bien ça ? Oui, c'est bien ça. J'ai 24 ans. Depuis combien de temps vous avez eu ce goût pour la pâtisserie ? Pour la pâtisserie, ça fait déjà depuis tout petit, où je commençais à faire de la pâtisserie comme tous les enfants à la maison, et puis jusqu'à en faire mon travail. Donc je dirais vers 14-15 ans. J'ai commencé vraiment la pâtisserie de manière professionnelle.
- Mais quel a été le décours ? À quel moment vous vous êtes dit « Je veux pas juste faire du gâteau au chocolat et une tarte aux pommes. Je veux vraiment faire mon métier, faire des choses fins et de la pâtisserie vraiment, j'allais dire presque gastronomique ? » Écoutez, j'ai un oncle qui est pâtissier, en fait, qui avait sa propre pâtisserie au Mans, qui s'appelait Galland. Et donc j'ai fait mon premier apprentissage de pâtisserie chez lui, en fait.
- Et ça m'a vraiment plu. Donc à ce moment-là, j'ai voulu absolument aller sur Paris pour en apprendre encore plus.
- J'ai adoré mon apprentissage sur le Mans avec mon oncle, mais j'ai vraiment eu cette passion pour la pâtisserie, mais aussi pour la vanille, complètement débordante.
- Et donc j'ai absolument voulu aller à Paris pour rencontrer l'élite, en fait.
- Vous avez travaillé aux côtés de Cédric Grolet, c'est ça, il y a quelques années ? Oui, j'ai commencé, en fait... Oui, exactement. En fait, j'ai commencé à arriver sur Paris. Donc j'ai suivi, en fait, ma formation pâtissière.
- Donc j'ai fait, en fait, une mention complémentaire dans la pâtisserie, chez une petite boulangerie-pâtisserie, un excellent patron qui avait travaillé avant chez Cérylignac, Bien.
- Les différentes boutiques. Donc j'ai vraiment eu un super côté un peu premium, déjà, au niveau pâtisserie. Et ensuite, ouais, j'ai travaillé un peu chez Philippe Ponticini.
- Et ensuite, je suis parti chez Cédric Grolet, qui était en fait un peu mon rêve depuis toujours, en fait.
- Une sorte de mentor ? Depuis tout petit, un petit peu. Bah c'était une pâtisserie que j'admirais beaucoup, déjà, depuis tout petit, en fait.
- Donc c'était un peu, ouais...
- Un rêve d'être chez Cédric Grolet.
- Cédric Grolet, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est le pâtissier notamment connu pour ses trompe-l'œil, hein. C'est ça, mon cher Paul ? Exactement.
- Voilà.
- Exactement. Et puis d'ailleurs, c'est là où j'étais, dans la maison mère du Meurice.
- Ah bah merde ! Où là, il fait vraiment les fruits trompe-l'œil.
- Et le tout, il y a quelques années, c'était en 2021, vous n'aviez que 21 ans, du coup. C'est ça, hein ? Exactement.
- Alors vous êtes pâtissier, Paul Galland, mais vous êtes aussi sourcier de vanille. Qu'est-ce que c'est qu'un sourcier...
Transcription générée par IA