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Par avec Loïc Pochet, Jérôme Cuny

La planète demain du 29 septembre


Au programme : Pochet Aerospace, cette entreprise qui révolutionne les hydravions / Comment accompagner les entreprises vers une transition écologique positive ?
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. La planète demain. Christophe Debian.
- Aujourd'hui dans La planète demain sur Sud Radio, en deuxième partie d'émission, nous recevrons Jérôme Cuny, président de IDH21, une société qui accompagne les entreprises vers une transition écologique positive.
- Mais pour l'instant, j'ai l'honneur d'accueillir Loïc Pochet, président fondateur de l'entreprise Pochet Aérospace, qui révolutionne et renouvelle le monde des hydravions.
- Mais c'est incroyable. Bonjour Loïc.
- Bonjour à tous. Bonjour tout le monde.
- Alors en plus, si mes souvenirs sont bons, avant d'être un entrepreneur averti dans le milieu aérospatial, vous étiez un grand navigateur à la voile qui a participé d'ailleurs à plusieurs courses au large, n'est-ce pas ? Tout à fait, oui. J'ai toujours eu les pieds dans l'eau, la tête dans les nuages. On ne se refait pas.
- Par exemple, vous avez navigué avec qui ? Qu'est-ce que vous avez fait ? J'ai le privilège d'avoir navigué avec tous les plus grands.
- Que ce soit de Kersauzon à Tabarly, en passant par Michel Malinowski, on en parlait tout à l'heure.
- Voilà, Philippe Janteau. J'ai eu le plus ce privilège-là d'être avec tous ces gens-là.
- Alors on va parler hydravions, drones. Mais qu'est-ce qui vous a donné l'idée de passer de la voile à l'aéro d'une manière générale ? Tout simplement, vous avez bien commencé le terme, c'est l'aéropostale.
- Oui, c'est ça.
- J'ai passé mon enfance à lire Au coin du feu et écouter de la musique classique en lisant les bouquins de Kessel, de Saint-Aix, de Mermoz.
- Donc j'ai été béni à ça.
- Donc à un moment donné, ce que je vous disais tout à l'heure, j'ai toujours eu les pieds dans l'eau, la tête dans les nuages.
- Je suis parti en tant que marin dans la Royale.
- Et puis après, j'ai bifurqué sur la course au large où j'ai rencontré les plus grands et j'ai navigué avec eux.
- J'ai eu ce privilège-là.
- Et puis de là...
- J'ai continué.
- Lors d'un moment, au moment de la route du Rhum, j'ai été percuté en 2002 par un cargo alors que j'étais bien placé.
- Et qu'est-ce qui s'est passé ? J'avais plus de bateau pour le Vendée Globe l'année suivante.
- Je suis resté comme un con à quai et je me suis dit soit je reste à regarder partir les autres, soit je fais quelque chose de ma vie.
- D'autres.
- Et je suis parti dans le monde de l'aéronautique parce que j'ai eu envie d'aller voir le parcours qu'avaient fait Saint-Aix, Mermoz, le long de l'Afrique avant de traverser l'Atlantique Sud et tout ça.
- Alors justement, dans ce nouveau parcours, celui de l'aéropostale, on va dire, et notamment de l'hydravion, vous avez décidé de concevoir l'Océanide Tempête.
- C'est le premier drone hydravion amphibie à propulsion hydrogène.
- Mais quelles ont été vos motivations pour cela ? C'est simple.
- Il faut bien...
- Il faut bien se dire que lorsqu'on navigue en permanence sur les océans, on voit l'évolution de la pollution qui évolue au fur et à mesure des années qui...

Transcription générée par IA

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