Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Et on continue de s'intéresser à cette actualité très riche avec Maxime Trouleau, qui nous a rejoint pour la revue de presse. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- Et on parle beaucoup forcément dans les journaux ce matin du sort de l'Ukraine qui se joue en ce moment. Emmanuel Macron s'exprime dans la presse régionale ce matin à ce propos.
- « La France et l'Europe doivent agir », lance le président de la République.
- Oui, dans la dépêche du midi, Emmanuel Macron qui a donc fait le point sur la guerre en Ukraine à nos confrères au lendemain d'un mini-sommet à l'Élysée, alors qu'un émissaire russe et américain se sont réunis à Riyad hier. Autant Europe, de la défense, négociation, de la paix, envoie de troupes au sol.
- Le président estime que l'Europe et la France doivent donc agir effectivement alors que l'Amérique et la Russie, eux, agissent et renouent le dialogue.
- C'est la une du Figaro ce matin à l'issue de ce premier contact.
- Le premier en trois ans, nous rappelle le Figaro, les chefs de la diplomatie des deux côtés.
- Exactement. Marco Rubio et Sergei Lavrov ont évoqué un partenariat aux possibilités extraordinaires.
- Ce sont leurs mots dont la clé passe par la fin de la guerre en Ukraine.
- États-Unis, Russie, le grand tournant titre de son côté l'opinion.
- Emmanuel Macron qui dit qu'une paix durable ne peut se négocier sans l'Ukraine.
- Qu'en pensez-vous ? Est-ce que vous êtes d'accord ? Vous nous le dites sur le compte Twitter Sud Radio. Ça donne quoi pour le moment ? Eh bien pour le moment, vous nous dites.
- Non à 71%, 29% de oui. Il y a Perplex qui nous dit notamment sur notre compte Twitter.
- Non, il faudrait d'abord demander aux Ukrainiens, même en organisant des élections, nous dit-il.
- Allez, dans l'actualité également, l'affaire des airbags défectueux Takata.
- On continue d'en parler ce matin après le rappel de près de 250 000 Citroën.
- Est-ce le dérapage de trop pour le groupe ? Stellantis demande le Télégramme.
- Oui, le journal qui rappelle que des centaines de milliers de propriétaires de Citroën C3, et de DS3, sont appelés donc à ne plus rouler.
- Tout simplement, le temps que soient changés leurs airbags défectueux.
- Une nouvelle embardée pour Stellantis, qui a tardé avant d'agir, nous dit le journal.
- Bref, l'automobile face à la crise des airbags, puisqu'on parle beaucoup de Citroën.
- C'est vrai que Citroën a été touchée, mais ce n'est pas le seul constructeur concerné par ces airbags japonais.
- Êtes-vous concerné par le rappel ? se demande le courrier Picard, qui revient sur cette polémique.
- Tout savoir sur la marche à suivre, ça, c'est la une de la Voix du Nord ce matin.
- J'entendais, les concessionnaires, c'est vraiment le branle-bas de combat, avec forcément des délais d'attente pour se faire changer les airbags.
- Forcément, ils essayent de faire le maximum aussi à leur niveau, mais c'est très compliqué.
- Il va...
Transcription générée par IA