Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Allez, 5h33 sur Sud Radio, la revue de presse, avec Maxime Troulot, qui m'a rejoint. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- Vous me dites bonjour avant que je vous dise bonjour.
- Oui, bonjour comme ça.
- OK. Non mais pourquoi pas ? Pourquoi pas ? Là, vous avez pris la confiance.
- Oui.
- Allez, l'actualité internationale. Pour commencer cette revue de presse, Thomas Stenico en parlait à l'instant.
- L'accord, on a eu déjà, on le connaissait, l'accord Ukraine-États-Unis sur le cessez-le-feu.
- On attendait la réponse de la Russie. Eh bien elle est venue avec Vladimir Poutine, qui n'a pas été tout à fait clair.
- Poutine dit oui, mais à la une de la dépêche du midi.
- Un petit peu de nuance dans les propos de Vladimir Poutine, qui a dit hier que son pays était pour la trêve en Ukraine, proposée par Washington et approuvée par Kiev, tout en prévenant donc qu'il restait, je cite, des questions importantes à régler.
- Il faudrait peut-être en discuter avec Donald Trump, en tout cas après trois ans de guerre, nous dit la dépêche du midi.
- L'espoir d'un cessez-le-feu est là, oui, puisque tout de même, Vladimir Poutine a donné de quoi être positif.
- L'idée est bonne, a-t-il répété au terme de sa conférence de presse hier.
- Mais donc, il y a cette accumulation, cette somme de questions que Vladimir Poutine pose.
- Comment garantir qu'une telle situation ne se reproduise pas ? De quelle manière ces 30 jours vont-ils être utilisés ? Les livraisons d'armes.
- Qui doivent être reprises par les Etats-Unis ? Vont-elles se poursuivre ? Comment le contrôle sera-t-il organisé ? Bref, pas mal de questions encore.
- Il faudra des réponses, probablement donc, entre Russes et Américains.
- Les autorités russes, en tout cas, refusent catégoriquement la présence en Ukraine de forces de maintien de la paix, a fortiori issues des pays de l'OTAN.
- Un cessez-le-quoi titre ce matin ? Libération.
- Libération, d'accord, oui, pas mal.
- Alors, une trêve, oui, mais sous conditions.
- Selon vous, on vous pose la question sur Twitter.
- Vladimir Poutine, s'aborde-t-il le cessez-le-feu en Ukraine ? Ça donne quoi, pour l'instant, sur le Twitter de Sud Radio Maxime ? Eh bien, pour le moment, vous pensez non à 84%, 9% de oui.
- Vous êtes 7% de sans avis sur notre compte Twitter.
- Donald Trump, lui, poursuit, intensifie sa guerre économique avec ses voisins.
- Et puis, par-delà, l'Atlantique avec nous, avec l'Europe.
- L'Europe qu'il menace de taxer à hauteur de 200% pour son vin et son champagne.
- Alerte rouge sur le rosé.
- Il s'inquiète, Varbatan.
- Oui, avec cette annonce qui sème l'inquiétude dans les rangs des vignerons varois, notamment, qui ne cède toutefois pas à la panique, puisque, donc, cette déclaration de Donald Trump, c'est une réponse, finalement, à celle de l'UE, qui a annoncé des droits de douane sur une série de produits américains, dont le bourbon, les motos, les bateaux.
- Voilà, donc, 50% sur le whisky américain ne sont pas retirés.
- Eh bien, il imposera cette taxe de 200%, nous dit Donald Trump.
- Une stupeur, donc, dans les rangs des vignerons, qui rappelle, d'ailleurs, que lors du précédent mandat de Donald Trump, eh bien, le président américain avait imposé une taxe douanière importante de 25% sur les vins et spiritueux français.
- Elle était entrée en vigueur dès le mois d'octobre 2019, puis suspendue par son successeur Joe Biden.
- Eh bien, conséquence de cette taxe à l'époque, eh bien, ça avait occasionné une chute de 40% des exportations des vins français vers les Etats-Unis.
- On verra ce que ça donne pour ces prochaines semaines.
- Et on va largement en parler.
- Dans le Petit Matin et le Grand Matin, de Sud Radio avec Jean-Jacques Bourdin, également, après 7h.
- Allez, en France, et c'est une proposition de loi qui risque de faire parler.
- Deux députés veulent libérer des places sans HLM.
- C'est à retrouver dans le Parisien, aujourd'hui, en France.
- Oui, l'objectif, c'est d'accélérer la rotation dans les logements sociaux.
- Cette proposition de loi doit arriver en commission des affaires le 25 mars, dans l'hémicycle le 31 mars.
- L'idée, en fait, de ces deux députés, donc l'ancien ministre du Logement, Guillaume Casbarian,...
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