Retranscription des premières minutes :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- 5h32 sur Sud Radio, une très bonne journée qui commence forcément avec Maxime Trouleau.
- Bonjour Maxime. Bonjour Benjamin, bonjour tout le monde.
- Et la revue de presse, forcément, dans la presse, on revient assez largement sur ce long entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Hier, ça fait la lune notamment du Parisien aujourd'hui en France.
- Au bout du fil, le sort de l'Ukraine.
- Oui, près de deux heures et demie d'entretien, nous dit le journal.
- Les deux hommes qui se sont mis d'accord pour un cessez-le-feu, donc, limité aux frappes sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes et russes pendant une courte période, 30 jours.
- On verra ce que ça donne à pas. En tout cas, Donald Trump, lui, se veut confiant.
- Il dit que c'est une transition pour la paix. Nous allons travailler rapidement pour avoir un cessez-le-feu total.
- Et au bout du compte, la fin de cette guerre vraiment horrible, c'est ce qu'il écrit sur son réseau social.
- La trousse sociale. En tout cas, les équipes russes et américaines vont engager immédiatement des négociations plus larges au Moyen-Orient. D'ailleurs, d'après Moscou, Vladimir Poutine a exigé qu'il soit mis fin au réarmement de l'Ukraine ainsi que l'arrêt total.
- Ça, c'est très fort. Ça, c'est très fort. Il demande, c'est sa condition, à l'Europe, dans le pays occidentaux, d'arrêter de fournir des armes et d'aider l'Ukraine.
- Voilà. On verra ce que ça donne. Est-ce que les Européens et les Américains vont accepter ? En tout cas, il y aura des pourparlers, notamment du côté de l'Arabie saoudite.
- D'ailleurs, Trump et Poutine.
- Ils pourraient se rencontrer sur terrain neuf, donc, du côté de Riyad.
- Réaction d'Emmanuel Macron. D'ailleurs, nous rappelle le Parisien aujourd'hui en France.
- Le cessez-le-feu doit être vérifiable. Et les Ukrainiens autour de la table.
- Assommé le président français du côté de Berlin.
- Et cette question qu'on vous pose sur le compte Twitter Sud Radio.
- La Russie qui réclame l'arrêt total de l'aide militaire occidentale à l'Ukraine.
- Et puis aussi l'arrêt des informations transmises par les pays occidentaux à l'Ukraine.
- Alors, est-ce acceptable ? Vous votez, vous réagissez sur le Twitter de Sud Radio.
- Et pour le moment, vous nous dites oui à 87% assez largement, donc, sur notre réseau social Twitter.
- Une date anniversaire aujourd'hui. C'était il y a un an, le 19 mars 2024.
- Emmanuel Macron lançait les opérations PlaceNet XXL contre les trafics de drogue, notamment dans le quartier de la Cacélane à Marseille.
- Mais un an après, les habitants se sentent abandonnés, récit dans La Provence.
- Oui, les habitants qui avaient rêvé d'un climat apaisé se disent otages.
- Oui.
- C'est la guerre qui oppose force de l'ordre et trafiquants.
- Alors, du côté de la préfecture de police, nous dit La Provence, on se réjouit.
- Depuis le 21 mars 2024, disent-ils, la présence de la police dans la cité a été continue, permettant de porter un coup fort aux 6 points de deal de cette cité que tout le monde jugeait imprenable.
- Du côté des habitants, effectivement, on le constate, il y a plutôt moins de trafic.
- Mais c'est pas totalement ça. D'ailleurs, le journal raconte, le matin à 9h30, la Cacélane est quasi déserte, les points de deal ne sont pas encore ouverts et les rares passants présents se préoccupent.
- Ils pressent de rentrer chez eux, ils ne vont pas tarder, prévient une habitante.
- Ils ouvrent vers 10h, car s'ils, comme les appellent les habitants, sont moins nombreux, ils sont toujours là et à 10h, le balai des consommateurs reprend, nous dit le journal.
- Effectivement, il y a encore des camions de CRS qui sont là l'après-midi vers 14h.
- Mais conséquence, c'est même pire, regrette une habitante, cette maman, qui explique que les policiers sont arrivés avec la haine.
- Il y a de la haine des deux côtés et nous, habitants, on est au milieu.
- Allez, non, loin de là, sur la Côte d'Azur, la terre a tremblé.
- Séisme de magnitude 4,1, enregistré.
- Une grosse frayeur pour les azuréens et les varois, l'aise du département, nous dit Varmatin.
- Oui, plus peur que de mal. Il n'y a pas eu de blessés, pas de dégâts non...
Transcription générée par IA