Retranscription des premières minutes :
- « Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize. » « Il est 5h33 et à 5h33, c'est l'heure de Maxime Trouleau. » « De la revue de presse, Maxime Trouleau. Bonjour Maxime. » « Bonjour Benjamin, bonjour à tous. » « Allez, dans la presse ce matin, l'Europe. L'Europe qui veut se réarmer face à la menace russe.
- Oui, mais comment ? Eh bien, le gouvernement, c'est-à-dire dans le Figaro Eco, veut mobiliser le monde de la finance pour réarmer la France. » « Attention, rencontre au sommet aujourd'hui à Bercy.
- 300 représentants des banques, des assurances, des fonds d'investissement, des industriels de la défense et des partenaires parlementaires également, nous dit le Figaro Eco.
- Éric Lombard sera là également à la mise de l'économie.
- Sébastien Lecornu, son homologue aux armées.
- Tous les deux d'ailleurs prévoient de détailler un nouvel arsenal financier pour la défense.
- Côté argent public, détaille le Figaro Economy, l'État prévoit de mobiliser, de se mobiliser même, notamment via des fonds spécialisés existants.
- Éric Lombard, d'ailleurs, a en revanche écarté la piste d'un grand emprunt.
- C'est une possibilité.
- C'était écarté donc par le ministre de l'Économie.
- Banquiers et assureurs, en tout cas, eux, se déclarent prêts à se mobiliser davantage.
- Le principal enjeu, selon plusieurs experts, est de réorienter les fonds de l'assurance-vie vers, eh bien, notamment tout ce qui est souveraineté européenne et des valeurs de la défense.
- De nouveaux fonds d'investissement vont être également labellisés.
- D'autres, aussi, devraient être créés, nous dit le journal.
- Alors, à quoi l'argent va-t-il servir ? C'est la question que se pose le journal, citant le livret A.
- Éric Lombard, lui, a indiqué qu'il peut tout à fait, ce livret A, financer les infrastructures de défense.
- Mais attention, pas le matériel d'armement.
- Ça, ça relève de l'État, détaille le ministre.
- En tout cas, les fonds serviront à soutenir la base industrielle et technologie de défense composée de neuf grands groupes.
- Airbus, Ariane Group, Dassault Aviation, Naval Group.
- Et près de 4500 petites et moyennes entreprises implantées sur tout le territoire.
- Dans la presse, également, ce matin, un problème qui concerne beaucoup de monde.
- Ces parkings d'hôpitaux trop chers, c'est à la une du Parisien aujourd'hui en France.
- De plus en plus d'établissements confient la gestion de leurs parkings à des opérateurs privés qui font s'envoler la facture.
- Le ministre regarde le sujet de près, nous dit le Parisien aujourd'hui en France, sur les tickets de la colère, effectivement.
- Plusieurs dizaines de milliers de places, autrefois gratuites, ont basculé, écrit le Parisien.
- Le phénomène a démarré il y a même une quinzaine d'années.
- Dans chaque territoire, aujourd'hui, des pétitions fleurissent.
- Des usagers et des élus s'offusquent.
- La colère est particulièrement vive dans les hôpitaux publics.
- Les hôpitaux publics et plus précisément, tenez, les urgences ou l'attente.
- L'attente dans les urgences qui explose, c'est à la une de Midi Libre.
- Oui, hausse de passage de malades âgés, manque de médecins traitants, bobologie, la moitié des patients y passent plus de trois heures.
- L'Occitanie n'y échappe pas, nous dit Midi Libre.
- Effectivement, ce chiffre, donc, trois heures, qu'on retrouve notamment dans les colonnes de Libération à cette étude, qui montre aussi une augmentation des personnes venant aux urgences faute de rendez-vous ailleurs.
- Cela représente 21% des patients en 2023 contre 13% en 2013.
- Mais donc, voilà, c'est le temps passé trois heures par la moitié des patients dans un service d'urgence en 2023.
- Voilà, c'est le temps passé trois heures par la moitié des patients dans un service d'urgence en 2023.
- C'était il y a 10 ans, 2h15.
- Cette information, ce matin, qui fait la lune du Dauphiné libéré, on est à Grenoble, des habitants chassés de chez eux par des dealers.
- Oui, ça paraît incroyable, mais c'est réel, le quartier de Mistral, côté de Grenoble, des dealers qui profitent souvent de la vulnérabilité des habitants, des trafiquants qui n'hésitent plus à s'approprier carrément leurs logements, voire même à les expulser pour y stocker la drogue, mais aussi de l'argent et des armes.
- Le Dauphiné libéré qui a enquêté...
- Beaucoup de logements sociaux, d'ailleurs, dans ce quartier Mistral.
- Exactement, le Dauphiné libéré qui a enquêté, qui explique même qu'une adolescente,...
Transcription générée par IA