La revue de presse du 2 octobre 2024

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- D'ailleurs, j'ajoute, on l'a appris il y a quelques minutes, en cas de riposte israélienne contre l'Iran, l'Iran menace de frapper toutes les infrastructures d'Israël.
- On y reviendra dans les prochaines infos avec Maxime Trouleau dans le journal de 6h.
- Pour l'heure, il est 5h32. C'est la revue de presse. Et c'est vous, Clément Arion.
- J'allais dire Maxime. On s'y perd.
- C'est l'habitude. Parce que c'est vous qui vous y êtes collé ce matin sur cette revue de presse.
- Et forcément, c'est Michel Barnier qui figure à la une de la presse régionale ce matin.
- Clément, le nouveau Premier ministre qui a présenté son discours de politique générale à l'Assemblée hier.
- Eh oui. « Faire beaucoup avec peu » pour la dépêche du midi.
- Même titre pour Sud-Ouest. Incitation évidemment des mots de Michel Barnier.
- Barnier, le funambule pour Midi Libre.
- Pendant près d'une heure et demie, donc, le nouveau Premier ministre a développé devant les députés les principales orientations de son programme politique.
- D'abord, sur la fiscalité, il promet une réduction des dépenses publiques et demandera une contribution exceptionnelle des plus riches.
- Autre annonce, le SMIC va augmenter deux mois plus tôt que prévu.
- Le Premier ministre annonce qu'il sera revalorisé de 2% dès le 1er novembre.
- Et puis, sur l'immigration, Michel Barnier veut rétablir des contrôles aux frontières sur le modèle de l'Allemagne ou encore conditionner davantage l'octroi de visas à l'obtention de l'essai passé consulaire nécessaire aux reconduites à la frontière.
- D'ailleurs, on vous fait réagir à ce discours de Michel Barnier hier à l'Assemblée nationale.
- Vous en avez pensé quoi, tout simplement, de ce discours pour vous ? Alors, c'est assez serré, les réponses. Vous nous dites que c'était un discours consensuel.
- 32% illégitime à 30%. Vieux jeu pour 23% d'entre vous. Rassurant à 15%.
- Commentaire notamment celui-ci, Crave Mercier, qui nous dit que, selon lui, Barnier n'a pas été convaincant. Macron a déjà tout gâché.
- Ajoute-t-il, maintenant, c'est au tour de Barnier de tenter de sauver les meubles.
- Clément, la suite de la revue de presse, on est mercredi.
- Et qui dit mercredi, bah, dit indiscrétion du canard enchaîné.
- Eh oui, en première page du journal, Bruno Retailleau, nouveau ministre de l'Intérieur, victime d'une OQTS. Obligation de quitter le territoire du Sénat.
- C'est quoi, ça ? Je vous explique, Benjamin.
- Ah, oui.
- Bruno Retailleau.
- Bruno Retailleau est maintenant ministre. Il a donc l'obligation de renoncer à son siège de sénateur et surtout à la présidence du groupe LR au Sénat. Mais révélation du canard, il aurait voulu assurer un petit peu ses arrières en cas de séjour bref au gouvernement, chose qui pourrait arriver en cas de motion de censure.
- Et donc, pour assurer ses arrières, il aurait poussé Roger Carucci, un sénateur de 73 ans, sans grandes ambitions politiques, pour être donc président du groupe LR au Sénat.
- Façon pour Retailleau de rapidement retrouver sa place en cas de retour au Sénat, bref.
- Mais...

Transcription générée par IA