Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize. » « Sud Radio, 5h32, les journaux sont là et qui voient Maxime Trouleau. Bonjour Maxime. » « Bonjour Benjamin, bonjour à tous. » « Bon, pas mal d'actualités traitées dans ces journaux. On commence cette revue de presse avec des mots qui ont encore suscité une très grande émotion.
- Les mots de Gisèle Pellicot, la victime dans ce procès des viols de Mazan qui a une nouvelle fois été entendue.
- « Je veux changer la société », c'est ce qu'elle a notamment déclaré à la barre.
- « Deux mois que ce procès a commencé. Elle se dit détruite, Gisèle Pellicot, mais déterminée.
- C'est elle qui est devenue désormais, nous dit la Provence, une icône des luttes féministes.
- Elle est venue à nouveau, donc, vous le disiez Benjamin, témoigner hier à la barre du tribunal d'Avignon.
- « Je veux changer la société, ni colère, ni haine, mais déterminée. » Là aussi, ces mots ont changé cette société, Gisèle Pellicot, qui fait la une de libération.
- Prendre le chemin de la résistance.
- Ce sont les mots, notamment, de plusieurs féministes dans les colonnes de Libération.
- Alors que, dans ce procès, les accusés retranchés derrière l'absence d'intention, nous dit le journal Libération, la quasi-totalité des hommes interrogés au procès n'y avoir voulu violer Gisèle Pellicot.
- C'est pourtant le viol, par surprise, dont la jurisprudence a récemment été enrichie, qui a été retenue.
- Nous sommes donc à mi-parcours dans ce procès des viols de Mazan.
- Cette question qu'on vous pose sur notre compte Twitter, Sud Radio, y aura-t-il, selon vous, un avant et un après procès des viols de Mazan ? Vous êtes déjà nombreux à réagir sur le compte Twitter, Sud Radio.
- Oui, on vous a donné quatre possibilités de réponse, mais pour le moment, vous nous dites non à 65%, alors que vous êtes seulement 15% à voter oui.
- Et Jocelyne, qui nous dit, c'est à espérer, tout de même, sur notre compte Twitter.
- Vous continuez, bien évidemment, de commenter.
- Retour à la réalité politique.
- Maxime, l'examen du budget tourne au cauchemar pour le gouvernement Barnier, nous dit Les Echos.
- Oui, les débats sur le projet de loi de finances partent dans tous les sens à l'Assemblée, nous dit Les Echos.
- Ah oui, c'est le cas de le dire.
- La clarté n'est pas vraiment au rendez-vous, nous dit carrément le journal.
- L'examen du budget devient le grand n'importe quoi, au dire de plusieurs parlementaires.
- Il montre les limites et la fragilité à ce débat du socle parlementaire sur lequel Michel Barnier est censé s'appuyer.
- Dans ce contexte, l'exécutif a ouvert la possibilité de recourir au 49-3 lors d'une délibération.
- Passage en force.
- Voilà, exactement, au Conseil des ministres, comme le prévoit la Constitution de 1958, détaille le journal.
- Mais rien ne dit qu'il s'en servira, le gouvernement, à court terme, ou même qu'il s'en servira tout court, nous dit Les Echos.
- Elle est dans la presse également, le Figaro, cette...
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