Retranscription des premières minutes du podcast :
- Oui, effectivement, c'était dans les infos à l'instant de Léo Ardour, la ministre de l'éducation nationale.
- Anne-Jeanne Teig qui a donc présenté son choc des savoirs.
- Acte 2, hier, ces annonces n'ont pas convaincu tout le monde de nouvelles mesures.
- Pourquoi faire, se demande Nice Matin.
- Les syndicats d'enseignants qui sont déjà vent debout, nous dit le journal, après l'annonce de ces mesures de la ministre, qui vont toucher les élèves du primaire jusqu'au bac, nous dit le journal.
- Ce qui va changer dans les lycées et les collèges, nous dit cette fois-ci Nord Éclair, avec ce reportage du côté d'un collège.
- Quels sont les retours, justement, de cette mesure très décriée depuis sa mise en place à la rentrée, notamment vis-à-vis des groupes de besoin pour les sixièmes et les cinquièmes.
- Et notamment, ce qui fait parler aussi, Benjamin, ça fait parler dans les échos ce matin, une épreuve de maths en première, ça va chambouler le bac.
- Oui, puisque les lycéens qui sont en seconde cette année passeront en jeunesse.
- Juin 2026, en plus de l'épreuve de français, une épreuve anticipée de maths.
- Anne Jeunetain, la ministre, insiste sur sa volonté, je cite, de prolonger au lycée l'ambition pour les savoirs fondamentaux du collège et de l'école primaire.
- Mais il y a des questions qui se posent.
- Concrètement, à quoi pourrait ressembler la nouvelle épreuve anticipée de maths ? Les épreuves seront différentes pour les spécialités et les non-spécialités.
- Il y a des histoires de coefficients.
- Bref, ça peut devenir une véritable usine à gaz.
- Nous dit un connaisseur du sujet dans les échos.
- Logiquement, les épreuves de terminale qui vont devoir faire de la place à la nouvelle épreuve de maths en première.
- Faut-il dès lors diminuer les coefficients des épreuves de terminale ? Ou alors celui du grand oral ? Ou alors peut-être ceux des épreuves anticipées de français ? Bref, il y a encore beaucoup de flou au sujet de ces épreuves de maths anticipées.
- À la une de l'actualité des journaux également, c'est peut-être d'ailleurs l'une des explications des aires médicaux en France.
- Un généraliste sur deux.
- Il s'installe là où il a grandi.
- C'est ce que nous dit le Parisien aujourd'hui en France.
- Les médecins généralistes visent généralement leurs plaques à proximité de l'endroit où ils sont nés.
- C'est ce que révèle une étude inédite de l'INSEE en 2019.
- Pour la moitié d'entre eux, la distance en ligne droite entre leur commune de naissance et celle où ils sont installés, où ils ont installé leur cabinet, est inférieure à 85 kilomètres seulement.
- Ce n'est pas beaucoup.
- On se rend compte, nous dit le Parisien, qu'au bout de 12 ans d'installation, 96% d'entre eux continuent d'exercer au même endroit.
- Non seulement ils ne vont pas loin, mais en plus ils bougent très peu.
- Dans le Grand Est ou dans les Hauts-de-France, 8 généralistes sur 10 sont nés dans la région où ils travaillent.
- La proportion est en revanche un peu moins importante...
Transcription générée par IA