Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize. » « Il est à 5h32, Maxime Trouleau, vous nous avez rejoint pour la revue de presse. Bonjour Maxime. » « Bonjour Benjamin, bonjour tout le monde. » « Bon, Michel Barnier, c'est fini. Ça y est, il rendra sa démission tout à l'heure à 10h, Emmanuel Macron.
- Et c'est reparti pour un tour, il va falloir nommer un nouveau Premier ministre.
- Retour à la case départ, résume, midi libre ce matin. » « Oui, comme un air de déjà-vu. En moins de trois mois après sa nomination, la France n'a plus de gouvernement.
- Et sa situation n'est pas plus claire qu'au soir du deuxième tour des législatives.
- Midi libre qui remonte encore plus dans le temps, le 7 juillet dernier.
- Et maintenant, trois petits points, nous dit la dépêche qui nous rappelle. » « Et maintenant, qu'est-ce qu'il fait ? » « Pas mal, c'est pas mal. L'Assemblée nationale qui a adopté hier par 331 voix une motion de censure du gouvernement.
- Ce qui n'était donc plus arrivé depuis.
- Depuis 1962, la gauche et le RN ont sanctionné le passage en force sur le budget de la Sécurité sociale.
- Et vous l'avez dit, Benjamin, Emmanuel Macron va devoir rapidement trouver un nouveau Premier ministre. » « Gouvernement le plus éphémère de l'histoire de la Ve République. » « Oui, trois mois seulement. Et maintenant, nous dit Varmada avec Michel Barnier, qui est donc en une du journal La France dans le flou. On ne voit pas trop bien où on va.
- Après, c'est un peu le mot aussi que l'on retrouve en une de pas mal de journaux ce matin.
- Un courrier Picard, censuré.
- Et après, nous dit La Provence, la chute. Et après, nous dit Nord-Éclair. » « Et après, et maintenant, et puis le grand flou. » « Ça, c'est la une du Parisien aujourd'hui en France qui dévoile les coulisses des dernières heures de Michel Barnier à Matignon. » « Oui, avec un pot d'adieu avant même, d'ailleurs, le résultat définitif de cette motion de censure.
- Michel Barnier qui a été accueilli par les applaudissements des membres du gouvernement hier à Matignon, juste avant de connaître le résultat du vote.
- « Je suis ennuyé, a-t-il dit, de vous avoir entraîné dans cette aventure.
- Face aux ministres désormais démissionnaires, l'assistance en cœur lance un grand non. » « Voilà, le chef du gouvernement confie. » « Vous pouvez le refaire. » « Non. » « C'était les ministres face à Michel Barnier. » « Vous faites bien les ministres. » « Oui, voilà, c'était très réussi. » « En tout cas, le chef du gouvernement confie avoir eu, à l'époque, donc hier, du mal à terminer son discours.
- Appé par l'émotion, il ne se rende pas compte, à l'extrême droite, à l'extrême gauche, ni même au PS, de la gravité de la situation.
- Du pays, poursuit-il, achevant cette assemblée impossible.
- Je souhaite sincèrement bon courage à...
Transcription générée par IA