Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- 5h32, la revue de presse. Bonjour Maxime Trouleau.
- Bonjour Benjamin, bonjour à tous.
- On a fait les comptes. Une heure et demie, une heure et demie de discours pour François Bayrou, qui était hier à l'Assemblée nationale pour sa déclaration de politique générale, marquée, marquée par des intentions plus que par des annonces. C'est l'analyse du Figaro.
- Oui, autant de consultations que de décisions, nous dit le journal.
- Une mission notamment sur le financement des retraites confiée à la Cour des comptes, une discussion sur la proportionnelle, des négociations sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie, un comité interministériel sur l'immigration, les outre-mer, le handicap.
- Bref, il y en aura pour tout le monde, je vous le promets, a prévenu François Bayrou hier, au début de son allocution d'ailleurs. Une priorité d'ailleurs, il entend contenir et réduire le sur-rendettement.
- C'est ce qu'il a indiqué en tout cas. On le sait, François Bayrou a été très attendu sur les retraites, notamment par la gauche. Le centriste propose aux partenaires sociaux qu'il recevra vendredi à Matignon de remettre en chantier la dernière réforme pour un temps bref, ce sont ses mots, c'est-à-dire d'ici à septembre, pas si bref que ça finalement, en tout cas septembre, mois auquel l'âge légal de départ doit être augmenté de trois mois.
- Des annonces donc notamment sur la question des retraites qui n'ont pas convaincu la gauche, en tout cas pas le Parti socialiste qui en attendait beaucoup.
- Le compte n'y est pas, raconte le Parisien aujourd'hui en France.
- Les propos de Boris Vallaud, hier en tout cas communiste écologique et socialiste, négociaient depuis plus d'une semaine avec le gouvernement sur un accord de non-censure.
- Résultat des courses, nous dit le Parisien, eh bien les écologistes voteront la motion de censure déposée par la France insoumise.
- La majorité des communistes devraient les imiter.
- Et les socialistes sont plus divisés que jamais, raconte le journal, lors d'une réunion après la déclaration de Bayrou.
- Leur groupe de députés, les socialistes, se sont scindés en deux.
- Une légère majorité est en faveur de la non-censure, mais une forte minorité pour la censure, témoigne un socialiste.
- Hier, Olivier Faure, d'ailleurs, au 20h TF1, a expliqué à ce stade, nous censurons, sauf si nous avons une réponse claire.
- Eh bien, réponse dans les prochaines heures.
- Oui, effectivement, on va voir cela.
- Mais c'est vrai qu'un peu les dindons de la farce, pour le moment, les socialistes.
- Et d'ailleurs, Jean-Luc Mélenchon, de la France insoumise, ne s'est pas fait prier pour les tacler un petit peu sur les réseaux sociaux.
- C'est socialiste qui négocie.
- Et donc, depuis plus d'une semaine, avec le gouvernement, François Bayrou.
- Dans l'actualité, également, Maxime, ces révélations du canard enchaîné sur ces médecins libéraux qui fraudent la sécu.
- Le titre en urgence.
- Histoire incroyable.
- Oui, ça date finalement du 22 décembre, date à laquelle, eh bien, il y avait une nouvelle tarification médicale.
- Puisque désormais, depuis cette journée, du 22 décembre,...
Transcription générée par IA