Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Il est 5h32. Et il est là, à l'heure. Bonjour, Maxime Troulon.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- Pour la revue de presse, et forcément, dans la presse, un sujet revient énormément à la une des journaux, c'est cet accord de trêve conclu entre Israël et le Hamas, plus d'un an après les attaques du 7 octobre 2023.
- « Une trêve et l'espoir », c'est le titre de libération.
- Je pourrais même rajouter « de la joie » dans la bande de Gaza, et « de la joie » également à Tel Aviv, hier, avec les scènes de Liès. Donc, après 15 mois d'une guerre meurtrière, un accord a été conclu, prévoyant un cessez-le-feu, la libération, petite libération, d'otages israéliens et davantage d'aides humanitaires à Gaza, détaille le journal. D'ailleurs, cet accord...
- prendra fête dimanche prochain, pour la première fois, donc, après 13 mois de bombardements, en partie, notamment, grâce aux menaces d'un Donald Trump triomphant avant son retour à la Maison-Blanche, écrit Libération, un accord qui doit encore être officiellement ratifié aujourd'hui par le cabinet de sécurité israélien et Benhamin Netanyahou, donc. Et Libération raconte que, finalement, les États-Unis ont pesé dans cet accord qui a eu lieu au Qatar.
- Alors, est-ce que c'est grâce à Joe Biden ? Est-ce que c'est grâce à Donald Trump ? En tout cas, Joe Biden, toujours président des États-Unis, reconnaît avoir travaillé en équipe avec son ancien opposant, son toujours opposant, Donald Trump.
- Bref, Israël, Hamas à Gaza et en Israël, l'espoir renaît, la trêve et la délivrance.
- Ça, c'est le titre, ce matin, du Télégramme.
- Et la question qu'on vous pose sur le compte Twitter de Sud Radio, vous en parliez à l'instant, Maxime, Donald Trump, est-ce qu'il a raison, de s'attribuer le mérite de l'accord de cesser le feu entre Israël et le Hamas ? Ça donne quoi, les votes ? Eh bien, pour le moment, vous nous dites oui, un grand oui à 89%, 11% de non, que cela soit le fait de Donald Trump ou de Joe Biden.
- Cette énième guerre doit avoir fin, nous dit notamment Jackie Bordage. Patrick nous dit également sur notre compte Twitter.
- Pour cela, pour répondre à cette question, il faudrait être dans les alcoves des négociations.
- Donc, la question revient d'être pour ou contre Donald Trump, nous dit-il.
- Allez, on passe aux Parisiens.
- Aujourd'hui, en France, avec, eh bien, ce maintien des postes dans l'éducation nationale.
- Une non-suppression confirmée, ce matin, dans les colonnes du Parisien.
- Aujourd'hui, en France, par la ministre de l'Éducation, Elisabeth Borne.
- Absolument. Nous revenons sur la suppression des 4000 postes d'enseignants, dit-elle, dans les colonnes du Parisien.
- Nous allons vers une stabilité des effectifs, ajoute-t-elle.
- Nous allons stabiliser les effectifs d'enseignants, ce qui, dans le contexte de la baisse démographique, revient à augmenter le taux d'encadrement des élèves.
- Oui, il y a toujours autant de profs, il y a moins d'élèves.
- Et dans le même temps, nous allons...
Transcription générée par IA